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Archive for the ‘Acquisition’ Category

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Discret à l’extrême à l’instar de sa femme Françoise, le gendre de Liliane Bettencourt, Jean-Pierre Meyers, né en 1948 dans une illustre famille juive, apparaît comme l’un des « gagnants » de l’accord mettant fin au conflit dans la famille.

Comme ses deux fils, M. Meyers a vu son rôle renforcé au sein de Téthys, la holding qui contrôle les parts familiales dans L’Oréal (environ 31%), dont il devient directeur général en lieu et place de l’ex-gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt (Patrice de Maistre), selon les termes de l’accord entre les deux clans révélé lundi.

Cette « promotion », qui, avec l’entrée de ses deux fils au conseil de surveillance de Téthys, semble préparer un passage de relais entre générations, était pourtant loin d’être évidente.

Petit-fils du rabbin Robert Meyers, déporté et décédé avec son épouse à Auschwitz pendant la guerre, Jean-Pierre Meyers n’avait apparemment rien du gendre idéal aux yeux des très catholiques André et Liliane Bettencourt.

Au sein de L’Oréal, M. Meyers est discret. Le seul fait d’armes qu’on lui prête est l’éviction à la fin des années 1980 d’un des dirigeants du groupe, Jacques Corrèze, mis en cause pour son passé collaborationniste.

La polémique est également l’occasion de remettre au jour des écrits antisémites d’André Bettencourt et de rappeler qu’Eugène Schueller, fondateur de L’Oréal, avait notamment contribué au financement du groupe d’extrême droite La Cagoule.

Souvent la cible de rumeurs, on lui prête volontiers le désir de diriger L’Oréal ou, au contraire, de revendre les parts familiales à Nestlé.

Du reste, tout au long du conflit l’opposant à sa fille, conflit que Jean-Pierre Meyers a traversé très discrètement aux côtés de son épouse, Liliane Bettencourt accusera Françoise de vouloir la mettre à l’écart pour céder les parts familiales. Une accusation réfutée vertement par l’intéressée.

De récentes informations relayées dans la presse prêtaient même à Liliane Bettencourt le désir de voir Jean-Pierre Meyers céder, à l’issue de son mandat son siège au conseil d’administration de L’Oréal, à l’un de ses fils.

La conclusion du conflit familial aura eu l’effet inverse, puisqu’il se retrouve aujourd’hui à la tête de la holding familiale Téthys.

Voir aussi : Patrice de Maistre : « Les Juifs vont toujours ou il y a de l’argent ! »

Via : La Dépêche.fr

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Un milliardaire sans domicile fixe. C’est ainsi que le Wall Street Journal a surnommé l’Américano-Allemand Nicolas Berggruen. En Europe, personne ou presque n’a entendu parler de cet homme de 49 ans au physique de play-boy qui vaut 2,2 milliards de dollars selon le dernier classement du magazine Forbes. Une fortune gagnée en deux décennies dans les tranchées de la finance mondiale.

Depuis juin, Madrid est devenu un point de chute régulier de ce voyageur impénitent. D’ici fin novembre, moyennant une mise de fonds d’un milliard de dollars, il prendra entre 51% et 60% du capital du tout-puissant groupe de médias espagnol, propriétaire d’El Pais, étranglé par une dette de 4,6 milliards d’euros. Nouveau Citizen Kane des médias en Espagne, il est aussi à la manœuvre à Berlin où il a reçu le feu vert d’un tribunal pour racheter Karstadt, équivalent des Galeries Lafayette.

Avec Prisa et Karstadt, bien qu’il s’en défende, Nicolas Berggruen change de dimension. « Il est dans une quête d’actifs qui ne sont pas des danseuses mais presque des trophées« , analyse un proche. Alain Minc qui le croise régulièrement depuis six mois sur le dossier espagnol. La reprise de Karstadt est encore plus symbolique. « C’est une forme de reconquête de l’Allemagne par un juif allemand qui veut faire table rase du passé« , poursuit Alain Minc.

Mécène et excentrique. Nicolas Berggruen vit entre son jet privé, un Gulfstream de quinze places, les hôtels cinq étoiles et les yachts lorsqu’il ne chasse pas le fauve en Afrique.

Via : Le Journal du Dimanche.fr

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Serge Dassault, déjà propriétaire du Figaro, étudie un éventuel rachat du Parisien/Aujourd’hui en France et pourrait faire une offre de reprise à Marie-Odile Amaury, actionnaire majoritaire du titre, apprend-on dans l’entourage de l’industriel.

L’éventualité d’un rachat du groupe Le Parisien par le président du groupe aéronautique et sénateur UMP de l’Essonne avait été révélée par le site d’information « Electron Libre », relayé par l’express.fr.Si M. Dassault, considéré comme proche de Nicolas Sarkozy, achetait Le Parisien, l’industriel contrôlerait deux titres phares de la presse quotidienne.

Le Figaro a diffusé en 2009 quelque 314.000 exemplaires en moyenne (ventes France payées) et Le Parisien 305.000 exemplaires auxquels s’ajoutent les 177.000 exemplaires d’Aujourd’hui en France, selon l’OJD.

Via : AFP.com

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La Commission Européenne a validé l’acquisition de certains actifs de BP France dans la distribution, ainsi que du dépôt pétrolier de Lyon, par le groupe israélien Delek.

L’opération, d’un montant de 180 Millions d’Euros en numéraire, porte sur un réseau de 416 stations dans l’hexagone, qui conserveront l’enseigne BP durant un période de plusieurs années.

Via : Challenges.fr

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PARIS — Le célèbre hôtel Lutetia à Paris a été vendu au groupe israélien Alrov, annonce le Groupe du Louvre dans un communiqué parvenu samedi, sans préciser le montant de la transaction.

En mai, des sources concordantes avaient indiqué que le groupe Alrov allait acheter le Lutetia pour 150 millions d’euros, avec l’objectif d’en faire le palace de la rive gauche, confirmant des informations du Figaro. Le groupe Alrov avait alors annoncé avoir déjà versé 10 millions d’euros en vue de l’acquisition de l’hôtel, qui fête cette année son centenaire.

Le rachat du Lutetia par un groupe israélien est tout un symbole: cet hôtel avait été réquisitionné durant l’Occupation par les nazis puis avait accueilli les rescapés des camps à leur libération. Louvre Hôtels, propriété du fonds américain Starwood Capital depuis 2005, est le deuxième groupe hôtelier en Europe derrière Accor.Starwood, dont la dette s’élève à 1,6 milliard d’euros, veut se désengager de l’hôtellerie de luxe pour ne garder que l’hôtellerie économique (Kyriad, Campanile, Première Classe).

Starwood souhaite ainsi se séparer du Crillon, de l’Hôtel du Louvre ainsi que du Concorde Lafayette à Paris, mais aussi du Martinez à Cannes ou encore du Palais de la Méditerranée à Nice. Fondé en 1978, le groupe immobilier Alrov est notamment à la tête de deux hôtels de luxe à Jérusalem, The David Citadel et The Mamilla Hotel. Il a réalisé en 2009 un chiffre d’affaires de 185,6 millions d’euros, pour un résultat net de 94 millions d’euros.

Dans le club très fermé des palaces parisiens, le George V appartient déjà à un groupe étranger, le canadien Four Seasons, et le Bristol au groupe allemand Oetker. De nouveaux entrants sont attendus par ailleurs d’ici la fin de l’année, notamment le Shangri-là, qui sera exploité par un groupe de Hong Kong et devrait drainer notamment une clientèle asiatique.

Au mois de juillet, les palaces parisiens ont vu leur taux d’occupation grimper de 5,3 points sur un an à 90,5%, selon des chiffres du cabinet spécialisé MKG Group. Dans le même temps leur revenu par chambre disponible (RevPar) a bondi de 19,5%. Les palaces parisiens profitent ainsi à plein du retour de la clientèle étrangère, sur fond de faiblesse de l’euro, après avoir été affectés par la crise en 2009.

Via : Afp.fr

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Le baron Edouard de Rothschild a acquis la nationalité israélienne tout en gardant la française, pour pouvoir participer à des concours hippiques internationaux, sans pour autant immigrer en Israël, a indiqué hier un porte-parole de son établissement financier.

«Vu le niveau de l’équipe de France, il n’avait guère de chances de l’intégrer», a-t-il poursuivi. «Il veut donc courir dans l’équipe israélienne». Pour le porte-parole, cela ne change rien à ses activités en France.

Le quotidien israélien Yediot Aharonot avait écrit hier que M. de Rothschild, principal actionnaire du journal Libération, a immigré lundi en Israël, et que sans abandonner ses affaires en France, il vivra une partie du temps dans sa maison de Tel-Aviv.

La famille Rothschild a contribué financièrement aux débuts du sionisme au siècle précédent. Edouard de Rothschild a une fortune évaluée à plus de 300M€, selon le magazine Challenges.

Via : Dna.fr

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