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Posts Tagged ‘Mossad’

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Le Comité permanent belge de contrôle des services de renseignement et de sécurité soupçonne Israël d’avoir installé les micros d’espionnage découverts en 2003 au siège du Conseil de l’UE à Bruxelles, rapporte le site internet EUobserver.

Selon la source, le rapport du Comité indique que les deux personnes soupçonnées d’avoir installé des dispositifs d’espionnage ont suivi un entraînement au sein de l’entreprise de télécommunication israélienne Comverse, connue pour ses liens avec le Mossad (service de renseignement israélien, ndlr).

Des micros ont été découverts en février-mars 2003 dans la partie du bâtiment Justus Lipsius, siège principal du Conseil de l’Union européenne, utilisée par les diplomates britanniques, français, espagnols et allemands.

« Nous ne disposons pas de preuves concrètes (de l’implication du Mossad, ndlr). Mais il s’agit d’un équipement avancé, installé dans les années 1993-94, rares étaient les pays qui avaient de tels moyens à cette époque. Ca peut être Israël, la Russie, l’Angleterre ou les Etats-Unis », a indiqué Peter de Smet, un membre du Comité permanent, cité par EUobserver.

Via : Ria Novosti.ru

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Vingt-trois ans après le mystérieux décès du dirigeant conservateur allemand Uwe Barschel à Genève, un journal laisse entendre dimanche que les services secrets israéliens seraient responsables de son assassinat. Le « Welt am Sonntag » cite de nouvelles analyses toxicologiques réalisées en Suisse.

Selon le journal, ces analyses confortent les affirmations d’un ancien agent du Mossad, Victor Ostrovsky, qui a détaillé dans un livre publié en 1994 comment M. Barschel aurait été tué. Cet ancien ministre-président chrétien-démocrate du Schlewig-Holstein (nord) avait été retrouvé mort dans un hôtel de Genève le 11 octobre 1987, tout habillé dans une baignoire remplie d’eau.

Les enquêtes officielles n’ont jamais permis de savoir si Uwe Barschel, qui avait ingéré des barbituriques, s’était suicidé ou avait été assassiné. Selon Welt am Sonntag, qui mentionne les recherches du professeur de toxicologie suisse Hans Brandenberger, « le scénario décrit par Ostrovsky correspond de façon étonnante à l’analyse des données« .

« Les expertises chimiques laissent penser à un meurtre (…) et du fait de la complexité du mode d’assassinat on ne peut que penser qu’il a été commis par une équipe de professionnels et non pas par une personne seule », selon M. Brandenberger.

https://i0.wp.com/www.aref.de/kalenderblatt/2007/pics/uwe-barschel.jpgUwe Barschel, âgé à l’époque de 43 ans, avait été contraint d’abandonner quelques semaines avant sa mort son poste de ministre-président après avoir été accusé d’avoir fait espionner son adversaire social-démocrate aux élections dans l’espoir de le salir. Il avait alors menacé de faire des révélations.

L’affaire d’espionnage politique est passée aujourd’hui au second plan, mais la presse a souvent évoqué l’hypothèse d‘un contrat non honoré de vente de sous-marins à l’Afrique du Sud.

L’affaire, dans laquelle Israël aurait joué un rôle d’intermédiaire, aurait permis à des partis politiques allemands de toucher des commissions occultes.

Via : Romandie.com

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« Spy Talk » Présenté par Victor Ostrovsky, ancien agent du mossad et Line Adams.

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Jean-Marie Le Pen affirme dans un livre publié jeudi qu’Israël avait été à « l’origine » de l’ampleur de la polémique déclenchée par ses propos en 1987 sur les chambres à gaz, qu’il avait qualifiées de « détail » de l’histoire de la Seconde guerre mondiale.

Dans le « Testament du diable – Les derniers secrets de Jean-Marie Le Pen » (Azzedine Ahmed-Chaouch, Editions du Moment), le patron du FN, 82 ans, défend cette thèse pour expliquer pourquoi, selon lui, la polémique n’avait pas démarré immédiatement après ses déclarations, le 13 septembre 1987.

« J’ai lu dans un livre sur le Mossad qu’ils évoquent un organisme qui, en Israël, est chargé d’orchestrer les campagnes d’opinion dans le monde« , dit-il dans un entretien avec l’auteur du livre, le 15 avril 2010.

« Et moi, je pense que c’est comme ça que ça s’est passé. Lundi (lendemain de ses déclarations), il ne se passe rien, et après ça se déchaîne. Oui, je pense qu’Israël est à l’origine, oui je pense que c’est de là que ça vient. Oui absolument, et surtout l’orchestration mondiale prouve un réseau, et ça me paraissait hors de proportions », ajoute Jean-Marie Le Pen, selon l’ouvrage.

Via : AFP.com

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C’est le quotidien Haaretz qui nous en parle, avec ce titre en anglais qui laisse rêveur : « Israeli rabbi: Honey-pot sex is kosher for female Mossad agents”

« Un rabbin israélien a décrété que les femmes agents du mossad pouvaient server d’appâts sexuels si nécessaire, c’est Kacher.

« Le Rabbin Ari Scvat vient en effet d’émettre une règle autorisant les relations sexuelles illicites lorsque la sécurité nationale est en jeu ». Cela s’adresse directement aux femmes agent du Mossad qui pourrait être amenées à user des leurs armes les plus secrètes dans leur mission contre le terrorisme notamment.

En fait ces relations sexuelles pour les besoins de la cause trouvent leur justification dans la bible (juive,ndlr) elle-même, précise le Rabbin… La Reine Esther a ainsi sauvé le peuple juif en couchant avec le roi des perses.

Via : France 24.com

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Partie 2 : http://www.dailymotion.com/video/xevk0i_franck-abed-recoit-jacob-cohen-2-3_news

Partie 3 : http://www.dailymotion.com/video/xevn9s_franck-abed-recoit-jacob-cohen-3-3_news

* Les  Sayanim (singulier: sayan, de l’hébreu informateurs ) sont des juifs de la diaspora qui collaborent activement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes dans le seul intérêt d’Israël. Leur nombre en France se situerait, selon Jacob Cohen, autour de 3 000. Ils se recrutent principalement au sein du Bnaï Brit (franc-maçonnerie juive internationale) et autres organisations juives.

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Via : Contre Info

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La scène se passe au D8. La conférence annuelle organisée par le Wall Street Journal, invite à débattre les personnes les plus influentes dans le milieu des médias et des nouvelles technologies.
Mark Zuckerberg, le fondateur du réseau social Facebook, en pleine interview, passe un sale moment. Cuisiné par deux pointures du journalisme, Walt Mossberg et Kara Swisher, Zuckerberg doit répondre aux questions visant les récents déboires rencontrés par Facebook, au sujet du traitement de la vie privée de ses utilisateurs. On le voit bafouiller, transpirer, tenter de noyer le poisson. Rien n’y fait.

Il a beau assurer que « la vie privée est très important pour Facebook« , ses arguments ne tiennent pas.
Devant le malaise de son interlocuteur, Kara Swisher propose à Zuckerberg de retirer son fameux « hoodie », sorte de sweat-shirt à capuche. Moment historique s’il en est, car Zuckerberg affirme ne jamais quitter ce vêtement en public. En se déshabillant, la doublure intérieure du hoodie dévoile une sorte de dessin ésotérique, et devant l’insistance des journalistes il en explique le sens : « c’est un hoodie de notre compagnie, nous avons imprimé notre mission à l’intérieur – rendre le monde plus ouvert et connecté ». Et la journaliste de s’exclamer : « Oh mon dieu, c’est comme un culte secret !« . Elle n’est vraiment pas loin d’avoir tord.

Qui est Zuckerberg ?
Né à New York en 1984, Zuckerberg grandit au sein d’une famille juive américaine. Même s’il se proclame athée [1], le judaïsme est une composante essentielle de son éducation, et cela restera constant jusqu’à l’université. Pour preuve son adhésion à d’une fraternité étudiante juive nommée Alpha Epsilon Pi (AEPi). Cette fraternité est d’ailleurs connue pour avoir accueilli un grand nombre de personnalités américaines gravitant à présent dans les milieux politiques, économiques et législatifs [2]. Quelques années plus tard, Zuckerberg n’hésite pas à afficher ses sympathies sionistes, en participant en 2008 à la célébration des 60 ans de la création de l’état d’Israël [3], aux cotés de Sergei Brin, co-fondateur de Google, et de Bernard-Henry Levy, éminent philosophe français, spécialiste du botulisme.
Cet attachement de Zuckerberg à l’état d’Israël n’a d’ailleurs pas été omis par l’ancien président de l’état hébreux. Shimon Peres, peu de temps après avoir rencontré Zuckerberg à Davos en 2008, s’exclama lors d’un congrès étudiant, qu’il fallait utiliser Facebook « pour combattre l’antisémitisme » : « vous avez l’opportunité d’enseigner à vos amis au sujet de la mémoire de l’Holocauste, pour que ces horreurs ne soient jamais oubliées et ne soient pas répétées » [4].

Facebook, une entreprise communautaire
On peut dire que le schéma « corporate » trouvé dans le hoodie de Zuckerberg suscite quelques interrogations. Que signifient ces éléments cabalistiques ? Il est difficile de n’y voir qu’une simple théorie humaniste, tel que Zuckerberg tente de l’expliquer lors de l’interview. Certains y trouvent une vague ressemblance avec la symbolique des Illuminati, piste à creuser s’il est est, mais tout cela reste difficile à prouver….
Un élément y est pourtant bien visible, c’est l’étoile de David qui apparaît ostensiblement au centre de la figure.
Mysticisme trivial ou conspirationniste réel ?
Une chose est sure, certaines entités dirigeantes de Facebook affirment un judaïsme sans complexes. C’est ainsi que l’un des porte paroles de la firme, Barry Schnitt, n’hésita pas à déclarer au New York Times le 13 mai 2009, que « beaucoup d’entre nous ont des connexions directes avec l’Holocauste » [5]. La phrase, qui ne laisse que peu de place à l’ambiguïté, explique la suppression massive de groupes Facebook contestant l’Holocauste. Implicitement, Schnitt dévoile qu’un nombre important d’employés travaillant chez Facebook, appartient à la communauté juive. Effectivement, parmi les compagnons de route de Zuckerberg, nous pouvons citer les personnalités suivantes :

  • Dustin Moskovitz : cofondateur de Facebook, ami d’université de Zuckerberg, participa à l’extention de Facebook vers d’autres campus américains. Détient 6% du capital de Facebook.
  • Justin Rosenstein : ancien responsable produit chez Google. Fut embauché par Zuckerberg et Moskovitz comme responsable technique (pour développer notamment le fameux bouton « Like » que l’on retrouve sur certains sites, et le très controversé projet Facebook Beacon abandonné après avoir été la cible d’un procès en recours collectif – class action aux États-Unis).
  • Peter Thiel : d’origine allemande, cet entrepreneur juif de 40 ans fut le premier à investir des fonds dans Facebook ($500.000 en 2004, soit environ 10% du capital de la compagnie à cette époque). Cofondateur de Paypal avec le juif ukrainien Max Rafael, Thiel est surtout connu pour avoir participé financièrement à la création de startups Internet telles que Slide (Max Levchin), LinkedIn (Reid Hoffman), Yelp (Jeremy Stoppelman), Geni.com et Yammer (David Sacks ).[6]
  • James Breyer et Jim Swarz : deux leaders juifs d’Accel Partners, entreprise spécialisée dans l’investissement de Capital Risque. En 2005, Accel Partners participe à une augmentation substantielle du capital de Facebook, (à la hauteur de 12.7 millions de dollars)[7]. Avant de participer financièrement à « l’aventure Facebook », James Breyer siéga en 1999 au conseil de direction de In-Q-Tel, un fond d’investissement américain géré par la CIA. L’objectif de cette société est de financer et d’accompagner les entreprises spécialisées dans les systèmes liés au renseignement. Même si Facebook n’a pas de lien officiel avec In-Q-Tel (et par extension, la CIA), difficile d’occulter le très fort intérêt de Breyer pour la collecte et le traitement de l’information [8].

Facebook et le datamining.
La collecte d’information est le cœur même de Facebook. Pour cela, les spécialistes utilisent le terme de « datamining ». A partir des données récoltées, des systèmes peuvent analyser puis prédire le comportement d’un groupe d’individu (ou d’un individu isolé) : par l’analyse croisée d’informations contenues dans Facebook, un expert peut déduire vos orientations politiques, religieuses, culturelles et même sexuelles. Même si vous avez pris le soin de ne pas enregistrer ces informations sur votre profil.
Il est ainsi possible d’extrapoler en fonction des données de fréquentation de votre page et tirer certaines conclusions, rien qu’en analysant les profils personnels de vos contacts ; gardez donc à l’esprit que amis ne partagent probablement pas les mêmes notions de discrétion. Si parmi vos 100 contacts, 80 sont inscrits au groupe « Amateurs de chips à la moutarde », les analystes n’auront aucune difficulté à déduire vos habitudes alimentaires douteuses.
Quoi de mieux qu’un annuaire mondial de personnes interconnectées entre elles. Nous l’avons vu dans la section précédente, Facebook dispose de liens « culturels » – pour ne pas dire communautaires – avec d’autres responsables de réseaux sociaux ; Facebook pourrait donc être en mesure d’échanger et de consolider ses informations avec les autres réseaux (professionnels ou personnels) tels que LinkedIn, Slide, Yelp…

« L’age de la vie privée est révolu »
C’est ce qu’a déclaré Mark Zuckerberg, en réponse à un blogueur américain, spécialisé dans les startups Internet [9]. Il est de notoriété publique, que le fondateur de Facebook ne porte que peu d’intérêt la vie privée des utilisateurs de son réseau social. D’ailleurs, quand Zuckerberg dut s’expliquer sur cette fameuse « erreur de jeunesse » qui évoqua lors de cette fameuse interview du D8, c’était en référence d’une conversation électronique qu’il eu avec un ami, c’était en 2003 [10] :

Quote:
Zuckerberg : Ouais donc si jamais tu as besoin d’informations sur n’importe qui à Harvard.
Zuckerberg : J’ai plus de 4.000 e-mail, photos, adresses
Ami: Quoi? Comment t’as réussi à obtenir ça?
Zuckerberg : Ils l’ont juste donné
Zuckerberg : Je ne sais pas pourquoi
Zuckerberg : Ils me « font confiance »
Zuckerberg : Putain d’abrutis

La conversation est volontairement provocatrice, mais reflète l’état d’esprit dans lequel sont gérés les données personnelles des membres de Facebook. Ainsi, nous avons pu constater que les clauses de confidentialité explicitées dans les conditions générales du réseau, peuvent changer sans avis. Il a été régulièrement constaté que les données des profils personnels peuvent passer du statut « privé » au statut « public », exposant au « tout venant », certaines informations initialement confidentielles.

Evolution of Facebook Privacy : The Evolution of Privacy on Facebook

100 millions de profils Facebook dans la nature
Cette gestion chaotique des données privées a mis récemment Facebook dans une situation délicate. En effet, un informaticien américain s’est appliqué à rassembler un ensemble d’informations publiques tirées des profil Facebook, par le biais d’un simple crawler (robot d’indexation comme ceux de Google ou de Yahoo). Le robot a pu naviguer de profil en profil, en récoltant toutes les données disponibles sur chaque page ; il en a résulté une grosse basse de données de 100 millions de profils Facebook.
Cet informaticien talentueux a dévoilé cette opération sur le site Skull Security [11], et pour prouver sa bonne foi, n’a pas hésité à laisser à disposition cette volumineuse base de données sous forme de Torrent (protocole de téléchargement). 2.8 Go de profils Facebook se promènent sur la toile. Détail intéressant, le site Gizmodo a enregistré les IP des internautes ayant téléchargé ce fameux torrent ; il en résulte qu’un bon nombre de ces identifiants de connexion appartiennent à des organisations publiques ou privées (parmi celles-ci : Apple, l’Eglise de Scientologie, Deutsche Telekom, Nations Unies, Pepsi Cola, Oracle Corp…) [12].

Supprimer son profil Facebook ?
Supprimer sa page Facebook, c’est difficile mais possible. Il existe même un site Internet permettant de répertorier les membres qui ont ou désirent supprimer leur profil Facebook : QuitFacebookDay.com.
En supprimant votre page, rien ne prouve que ces données sont réellement supprimées. Ainsi, Facebook fut une nouvelle fois au centre d’une polémique en 2009, quand le réseau décida que même après suppression volontaire de votre profil, les informations que vous avez précédemment enregistrées peuvent persister dans un système d’archivage : « You may remove your User Content from the Site at any time. If you choose to remove your User Content, the license granted above will automatically expire, however you acknowledge that the Company may retain archived copies of your User Content ». Cette clause fut retirée in extremis pour calmer les esprits…et continuer de séduire les utilisateurs qui n’ont pas encore fait le grand pas.
Donc, si vous n’avez pas encore créé de profil Facebook, je souhaite que cet article sera une base de réflexion sur ce choix dangereux. Facebook est le système idéal pour tracer vos habitudes, vos convictions et réduire peu à peu votre espace de liberté. N’oubliez pas que derrière Facebook subsistent des réseaux opaques basés sur le communautarisme sioniste, que nous devons en tout point combattre.

Étapes pour supprimer un profil Facebook : How to Permanently Delete a Facebook Account – wikiHow

Stormfront.org / Futharkk / 19 aout 2010
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Références
[1] Just How Much Do We Want to Share On Social Networks?
[2] About AEPi – Well-Know Alumni
[3] Israel News Agency Creates Israel 60 Birthday Website Resource Center
[4] Peres urges world youth to fight anti-Semitism using Facebook
[5] Facebook confirms removal of two Holocaust denial groups. Is it enough?
[6] Meet the PayPal mafia / CNN Fortune / Jeffrey M. O’Brien / 26 nov. 2007
[7] Accel Partners Invests in thefacebook.com
[8] With friends like these … Tom Hodgkinson / The Guardian / 14 janv. 2008
[9] Mike Arrington interrogates Mark Zuckerberg, Mike Arrington interrogates Mark Zuckerberg techcrunch on USTREAM. The Web
[10] Facebook founder called trusting users dumb f*cks / The Register
[11] SkullSecurity » Blog Archive » Return of the Facebook Snatchers
[12] Major Corporations Are Downloading Those 100 Million Facebook Profiles off BitTorrent

Via : Pas Casher.com

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Les ambassades israéliennes sont devenues le théâtre d’une véritable guerre à huis clos entre diplomates professionnels et espions du Mossad.

Le comité d’entreprise des employés du ministère des Affaires étrangères a ordonné de couper les vivres aux agents secrets en poste à l’étranger. Plus de salaire, plus de remboursement des frais de scolarité des enfants, plus de notes de frais pour arroser les «sources», sans compter que les James Bond israéliens sont privés de nouveaux passeports diplomatiques, bien pratiques dans la profession.

Les fonctionnaires des Affaires étrangères, qui contrôlent les cordons de la bourse dans les ambassades et les consulats, entendent ainsi se venger des représentants du Mossad qui, à leurs yeux, sont devenus des «jaunes». La célèbre agence de renseignements s’est en effet substituée aux diplomates en organisant la visite que Benyamin Nétanyahou, le premier ministre, a commencé, hier, Grèce. Les diplomates en grève depuis plusieurs semaines pour obtenir des augmentations avaient refusé de préparer le terrain et espéraient obtenir le soutien du Mossad.

Bref, les agents secrets sont considérés comme des «briseurs de grève» à boycotter totalement jusqu’à nouvel ordre, sauf, bien sûr, si des vies étaient mises en danger par ce conflit social.

Via : Figaro.fr

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http://gulfnews.com/polopoly_fs/uri-brodsky-covers-his-face-as-he-is-escorted-into-court-in-warsaw-poland-1.651686!image/1394150418.jpg_gen/derivatives/box_475/1394150418.jpg

BERLIN — Un Israélien, agent présumé du Mossad soupçonné d’être impliqué dans l’assassinat d’un membre du Hamas palestinien à Dubaï, a été remis en liberté sous caution en Allemagne après son extradition de Pologne, a annoncé vendredi le parquet de Cologne (ouest).

Le suspect a versé « une caution d’un montant approprié« , a indiqué à l’AFP un porte-parole du parquet de Cologne, sans préciser la somme. « Le mandat de dépôt pour falsification de document a été levé d’un commun accord entre le tribunal d’instance et le parquet », a-t-il ajouté.

Uri Brodsky avait été arrêté le 4 juin à l’aéroport de Varsovie en vertu d’un mandat d’arrêt européen émis par l’Allemagne qui le soupçonne de complicité dans l’obtention illégale d’un passeport allemand et d’espionnage.

Mais la Pologne, qui l’a extradé jeudi, n’a retenu que le chef d’inculpation de falsification de documents, et pas celui d’espionnage, ce qui exclut des poursuites en Allemagne à ce titre.

C’est à Cologne (ouest de l’Allemagne) que M. Brodsky aurait obtenu illégalement un passeport allemand. Le parquet de la ville a ainsi hérité du dossier.

Uri Brodsky est soupçonné d’avoir participé à la mise en place du commando responsable de l’assassinat de Mahmoud al-Mabhouh, un fondateur de la branche armée du mouvement islamiste palestinien Hamas, retrouvé mort le 20 janvier dans un hôtel de Dubaï.

La police de Dubaï impute à Israël la responsabilité du meurtre. Les médias israéliens soutiennent cette thèse. Pour le gouvernement israélien, rien ne prouve une implication du Mossad.

Via : Afp.fr

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La Pologne extrade un agent du Mossad vers l’Allemagne, annonce le quotidien Süddeutsche Zeitung en une, à la suite de la décision d’une Cour d’appel de Varsovie le 5 août de livrer à Berlin Uri Brodsky.

L’homme est soupçonné d’être un agent des services secrets israéliens impliqué dans l’assassinat à Dubaï d’un membre du mouvement islamiste palestinien Hamas. Il aurait contribué à l’obtention illégale d’un passeport allemand utilisé par un membre du commando responsable de l’assassinat, précise le journal. Brodsky avait été arrêté à Varsovie le 4 juin, en vertu d’un mandat d’arrêt européen.

Son extradition, qui avait été prononcée le 7 juillet par un tribunal de première instance polonais, a été confirmée par la Cour d’appel. Ury Brodsky devrait être remis à la justice allemande d’ici dix jours.

Via : Courrier International.com

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BEYROUTH — Une troisième personne a été arrêtée dans le cadre d’une enquête sur un réseau d’espionnage présumé au profit d’Israël impliquant des employés des télécoms libanais, a indiqué vendredi une source proche de l’enquête sous couvert de l’anonymat.

« L’arrestation a eu lieu tard la nuit dernière et le suspect est un ancien employé du secteur des télécoms du Liban », a indiqué à l’AFP cette source, sans préciser où travaillait le suspect.
Elle n’a pas pu confirmer s’il avait des liens avec deux employés d’Alpha, l’un des deux opérateurs libanais de téléphonie mobile, arrêtés récemment.

Charbel Kazzi (bien Kazzi), un technicien d’Alpha, a été arrêté il y a trois semaines et inculpé mardi d’espionnage pour le compte d’Israël.
Il est accusé d’être « entré en territoire ennemi, d’avoir collaboré avec Israël et de lui avoir fourni des informations ». S’il est reconnu coupable, il encourt la peine de mort.

La source proche de l’enquête avait fait état jeudi de l’arrestation d’un deuxième Libanais, Tarek al-Rabaa, également soupçonné d’espionnage.
Il a été « arrêté il y a quatre jours et il est probable qu’il soit complice de Charbel Kazzi à la compagnie Alfa », avait-elle indiqué à l’AFP. M. Rabaa est un ingénieur de transmission, selon la presse.

« Nous sommes devant l’opération d’espionnage la plus dangereuse » depuis le lancement en avril 2009 d’une campagne visant à lutter contre l’espionnage, a estimé le ministre des Télécommunications Charbel Nahas, cité vendredi par le journal As-Safir.

« On essaie de vérifier si (les activités d’espionnage) ont réussi (…) à introduire des programmes ou des virus » dans le réseau de téléphonie mobile, a-t-il dit.

« On a pris des mesures (…) parmi lesquelles annuler la possibilité de rentrer sur les programmes (des réseaux) de l’extérieur, et le changement des mots de passe », a-t-il ajouté.

Via : Afp.com

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Et c’est bien l’Allemagne qui va récupérer Uri brodsky.

Cet homme, agent secret israélien présumé, est soupçonné d’avoir participé à l’assassinat d’un fondateur du Hamas. Il avait été arrêté en Pologne en possession d’un faux passeport allemand.Un tribunal a répondu positivement à la demande d’extradition formulée par l’Allemagne.

Son avocat, Krzysztof Stepinsky :

“La cour a prolongé sa détention le plus longtemps possible, c’est à dire pour cent jours. Cela signifie que Brodsky quittera le territoire polonais et sera rendu à l’Allemagne dans cent jours à moins qu’un appel soit accepté avant”.

Les médias israéliens ne croient pas une seconde leur gouvernement qui nie toute implication du Mossad dans le meurtre de Mahmoud al-Mabhou, retrouvé mort dans un hotel de Dubai le 20 janvier.

L’Etat hébreu, depuis l’arrestation d’Uri Brodsky, réclame en vain son retour en Israël.

Via : Euro News.net

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