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Archive for the ‘Réseau’ Category

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Cinq informations judiciaires ont été ouvertes dans l’affaire de la fraude à la TVA sur le CO2, qui aurait fait perdre au fisc 1,5 milliard d’euros. Mais les poursuites se concentrent sur quelques profils. La responsabilité des intermédiaires et de l’administration reste taboue.

Emprunter un jet privé pour aller au ski peut coûter très cher. Fabrice S., incarcéré depuis l’hiver dernier, en sait quelque chose. Il est soupçonné d’avoir participé à la fraude à la TVA sur le marché du CO2, qui place aujourd’hui le pôle financier du tribunal de grande instance de Paris en ébullition. Selon nos informations, pas moins de cinq informations judiciaires sont en cours, confiées à quatre juges d’instruction.

Chèque douteux et Aston Martin

C’est bien la facture d’un week-end à la montagne qui a mis la puce à l’oreille d’un policier versaillais qui épluchait les comptes de Fabrice S. pour une histoire de chèque douteux. Et peut-être aussi l’Aston Martin. Au départ, le commerçant vendait du textile sur les marchés. Un business prospère, spécialisé sur la distribution de jeans Diesel et de Converse. Marié, père de deux enfants et très impliqué au sein de la communauté juive de la banlieue parisienne où il réside, Fabrice S. ne donne a priori pas dans le bling-bling. Jusqu’à 2009, où les affaires décollent un peu trop vite, selon les enquêteurs. Lesquels soupçonnent aujourd’hui l’homme de s’être enrichi en participant au grand tournoi de « fraude au carrousel » sur le CO2, qui a allégé les caisses de l’État français de 1,5 milliard d’euros entre 2008 et 2009, selon un spécialiste du marché. Les fraudeurs achetaient des quotas hors taxes à l’étranger, et les revendaient taxes comprises en France avant de disparaître avec 19,6 % de bénéfice.

Gérant de fait

https://i0.wp.com/blog.ulurubeagle.com/wp-content/uploads/2009/01/fraude-300x300.gifSelon un proche du dossier, il est accusé d’être gérant de fait de la société Nathanael, une société de textile dont les comptes reflètent des mouvements de fonds impressionnants, soit 263 millions d’euros en deux mois transférés à l’étranger. La justice le soupçonne d’avoir extorqué quelque 43 millions d’euros au fisc, entre mars et le début du mois de juin 2009. Un de ses comparses, Aroun C. s’est réfugié en Israël, où il a été entendu par la police israélienne cet été. Sachant qu’Israël n’a pas d’accord d’extradition avec la France, les juges craignent que Fabrice S. suive le même chemin. Pourtant, son profil tranche avec les autres personnes mises en examen, dont l’implication dans cette fraude semble nettement plus réfléchie.

Sous les verrous

À commencer par Grégory Z., également sous les verrous. Gérant de la société Crépuscule, ce dernier était plutôt bien introduit dans la finance carbone. Sa société était d’ailleurs membre du marché du CO2 français depuis mai 2007, soit avant même la création de la place de marché BlueNext, fin 2007, qui a hérité des actifs de Powernext. « Au printemps 2009, quand on a appris que Gregory Z. s’était fait choper, on était surpris », assure un intervenant du marché.

À bien y regarder, Fabrice S. et Gregory Z. n’ont pas grand-chose en commun, si ce n’est le fait d’avoir momentanément partagé une cellule à la prison de la Santé…, un comble alors que les deux détenus le sont notamment pour éviter une circulation d’informations entre les protagonistes. Avec ses bureaux fantômes, installés boulevard de Sébastopol, dans une société de location de bureaux, et les multiples identités et sociétés avec lesquelles elle travaillait, Crépuscule a pris grand soin de dissimuler ses activités, tout en soignant ses relations. Ce qui est également le cas de bon nombre d’intermédiaires du marché du CO2, qui couraient les colloques et les cocktails en 2008 et 2009, et se font aujourd’hui plus discrets.

Voltalia sur la sellette

http://les4elements.typepad.fr/.a/6a00d83529ea3953ef0148c699ea95970c-800wiLa société Voltalia, cotée au Marché Libre et membre de BlueNext, qui génère des crédits de CO2 notamment en Guyane et au Brésil, avec des actionnaires prestigieux au capital, comme la famille Mulliez ou la Caisse des dépôts, aurait ainsi servi d’intermédiaire à la société Nathanael pour accéder au marché du CO2, selon certains témoignages recueillis par la justice. Contacté par « La Tribune », Robert Dardanne, le PDG de Voltalia, s’est refusé à tout commentaire.

Fraude avérée

D’autres structures, dont TerraNova Market, qui était membre du marché du CO2 de longue date, seraient aussi impliquées dans les montages. Elles ne sont cependant pas inquiétées par la justice. La société Nathanael est au contraire arrivée tout à la fin de la période de fraude : les transferts de fonds suspects qui lui sont reprochés portent sur trois mois, de mars à juin 2009. Une période où la fraude n’était plus une hypothèse. Les mouvements suspects reprochés à une des sociétés travaillant avec Nathanael, Max Sky, inquiétaient BlueNext dès le mois de mars. « Il y a eu des alertes, la taille de la négociation était supérieure à la moyenne d’une journée », a expliqué cet été la directrice juridique de BlueNext aux enquêteurs.

La Caisse des dépôts et consignations, actionnaire de BlueNext à 40 % mais aussi gestionnaire du registre de quotas de CO2, avait de son côté mis en garde dès le mois de décembre 2009 les services de Bercy. Et, selon nos informations, le cabinet de Christine Lagarde avait aussi été destinataire, le 30 janvier 2009, d’un courrier de la part du directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, Augustin de Romanet. Lequel alertait sur le risque de fraude, en réclamant la suppression de l’impôt.

Il faudra plusieurs réunions entre les parties prenantes, c’est-à-dire la CDC et les cabinets d’Éric Woerth, alors ministre du Budget, et celui de la ministre de l’Économie, avant que la décision soit prise, le 15 mai 2009, de supprimer la taxe, lors d’une réunion au cabinet du ministre. Et trois semaines de plus pour sa mise en oeuvre, début juin. Une lenteur regrettable : entre le 15 mai et le 9 juin, date de la suppression effective de la TVA, 1,24 milliard de tonnes de CO2 ont été échangées sur BlueNext. Si l’on considère que 90 % des échanges étaient le fait de fraudeurs, et un prix moyen de 14,31 euros par tonne de CO2 sur la période, la perte pour le fisc dépasse les 300 millions d’euros. En moins de trois semaines.

Neuf enquêtes préliminaires et cinq informations judiciaires

Dix-huit mois plus tard, neuf enquêtes préliminaires ont été ouvertes à Paris. Et cinq informations judiciaires sont en cours, réparties entre quatre juges du pôle financier du tribunal de grande instance. Le juge Jean-Marie d’Huy a hérité de deux autres dossiers en plus de Crépuscule, tandis que Renaud Van Ruymbeke s’est attelé à une des instructions. Les juges Aude Buresi et Guillaume Daieff, du pôle de lutte contre la délinquance astucieuse, créé en 2009 et rattaché au pôle financier, sont chargés du dossier Nathanael. Le partage des dossiers entre quatre juges d’instruction, alors que le pôle financier en compte onze, témoigne de l’ampleur de l’affaire, même si, de l’aveu d’une source proche de l’enquête, « les moyens alloués à la lutte contre la fraude sont limités ».

Désinvolture à Bercy

Si les services du TGI sont mobilisés, ceux de Bercy manifestent en revanche une certaine désinvolture. Dans le dossier Nathanael, le Trésor a attendu plusieurs mois d’instruction avant de se porter partie civile, très récemment. Les poursuites ne semblent pas constituer une priorité pour le Trésor, principale victime de la fraude estimée à 5 milliards d’euros par Europol, dont 1,5 milliard en France.

Un pas en avant au Danemark

Le Danemark, dont le registre des quotas de C02 a attiré plus de 1.200 participants en 2009 lors du pic de fraude à la TVA, vient de faire un pas en avant pour mieux comprendre ce qui s’est passé. La commission des Finances du Parlement danois a en effet mandaté, la semaine dernière, la Cour des comptes locale (Rigsrevisionen) pour établir un rapport sur le sujet. Dans un premier temps, le Rigsrevisionen se consacrera à analyser la responsabilité du gouvernement danois, lors de la fraude, en 2008 et 2009. Et plus, précisément, celle du ministère de l’Environnement qui gérait le registre des quotas. L’actuelle commissaire européenne à l’Environnement, Connie Heddegard, était alors ministre de l’Environnement.

La faculté d’ouvrir des comptes de quotas était théoriquement ouverte à tout détenteur de carte d’identité, mais le registre danois a poussé le laxisme un peu plus loin que les autres en supprimant tout type de contrôle. La Caisse des Dépôts et Consignations, qui tenait le registre en France, demandait au moins un extrait des comptes d’une société. Ce qui ne l’a pas empêché d’héberger, en masse, des profils étonnants : des traders ne disposant que d’adresses de courriels ou de téléphones portables à Hong-Kong. Mais en nombre plus restreint. De nombreux ressortissants français étaient par ailleurs inscrits sur le registre danois.

Justice internationale

Selon Rasmus Borup, du secrétariat général du Rigsrevisionen, la seconde partie de l’enquête concerne « une coopération internationale entre les cours des comptes des autres pays concernés par la fraude ». Le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Pologne auraient déjà assuré la cour des Comptes danoise de leur collaboration. En France, « la Cour des comptes n’a pas encore été contactée », constate Christian Descheemaeker, président de la septième chambre en charge des questions d’environnement. Laquelle avait remis en 2008 aux commissions des Finances du Sénat et de l’Assemblée un référé sur le marché des quotas, et continue de s’intéresser au dossier.

Via : La tribune.fr

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Dominique Nouvian, d’origine sépharade, nait le 16 décembre 1953 à Constantine (Algérie), elle est de nationalité française et épouse, en 1973, un professeur au lycée technique d’Abidjan, très âgé, le Pr Folleroux.

Il est l’ami du ministre de l’enseignement professionnel et technique, Bamba Vamoussa (il a été ensuite ministre de l’éducation nationale de 1990 à 1993), avec lequel elle commence une relation forte, elle est son 2e bureau. Elle rentre alors en contact avec le gouverneur de la BCEAO, Abdoulaye Fadiga, dont elle est également le 2e bureau. Elle se partage simultanément entre les trois lits. Son ascension dans les circuits de pouvoir en est facilité et, dès 1979, elle crée AICI (société immobilière), structure qui gère le patrimoine présidentiel ivoirien, qu’elle détourne à son profit au fil des ans.

domira.jpgPar Fadiga, elle connaît ADO, dont elle devient la maîtresse. Il est à cette époque vice-gouverneur de la BCEAO à Dakar, pour le compte de la Haute Volta (Burkina Faso), poste qu’il occupe de janvier 1983 à octobre 1984. De novembre 1984 à octobre 1988 il est directeur Afrique du FMI à Washington. Après la mort de Fadiga (le 11 octobre 1988), il rentre en Côte d’Ivoire où, sur la pression insistante de Dominique, il est nommé gouverneur de l’institution bancaire pour la Côte d’Ivoire (octobre 1988 à décembre 1993).

Pendant ce temps, notre Dominique nationale part à la conquête de l’Europe en créant une agence AICI à Paris, dans le 16ème arrondissement. Cette agence, située avenue Victor Hugo, devient rapidement la vitrine de ce qui est devenu le Groupe AICI en Europe. La même année, elle est élue présidente d’honneur de la Chambre Syndicale des Agents Immobiliers de Côte d’Ivoire (CSDAIM). Suivent, en 1991, la création d’une agence à Cannes, et en 1993, un cabinet de gestion de Syndic de copropriétés à Paris qui gère plus de 200 immeubles parisiens.

Entretemps, le président Houphouët-Boigny, tombe sous l’influence de Dominique Ouattara (ses adversaires, déjà nombreux la surnomment « la putain dangereuse »). Il nomme ADO président du Comité interministériel de relance de l’économie ivoirienne (avril à novembre 1990). C’est alors, en octobre 1990, qu’elle épouse ADO (Alassane Dramane Ouattara), le président Houphouët-Boigny en aurait pleuré de chagrin. Ensuite la « femme fatale » pousse le président Houphouët-Boigny, qui ne dispose déjà plus de toutes ses facultés, à nommer ADO premier ministre, fonction qu’il occupe du 7 novembre 1990 au 9 décembre 1993 . Elle obtient, du président Houphouët-Boigny, à l’arrivée d’ADO à la Primature, qu’il soit chargé de lancer le processus de privatisation des structures étatiques de l’économie ivoirienne.

https://i0.wp.com/www.nerrati.net/afrique-dossier/images/ouest-afrique/cote-d-ivoire/people/le-couple-alassane-dramane-ouatara-et-dominique-ouatarra-nee-nouvian-folleroux.jpgADO et son épouse lancent alors une gigantesque opération de prédation du patrimoine de la Côte d’Ivoire. Après la mort du président Houphouët-Boigny, ADO devient directeur général adjoint du FMI (1er juillet 1994 au 31 juillet 1999). Il en profite pour fonder à Washington,, le 10 Juin 1999, l’Institut International pour l’Afrique (IIA) à Washington. Puis, le 1er août 1999, le RDR (Rassemblement Des Républicains), dont il prend la présidence.

Dominique profite des fonctions internationales de son époux pour faire prospérer ses affaires. En 2001, une nouvelle agence AICI voit le jour au Gabon, à Libreville. En février 2006, AICI International s’installe à Ouagadougou, au Burkina Faso,

Parallèlement à la poursuite de ses activités dans le domaine immobilier, Dominique Ouattara devient, en 1996, la patronne d’EJD Inc., société qui gère l’Institut Jacques Dessange basé à Washington. Celui-ci est aujourd’hui un des endroits les plus fréquentés de la capitale américaine. Dominique Ouattara acquiert, en 1998, les franchises Jacques Dessange aux Etats-Unis. Elle devient alors la présidente de la compagnie French Beauty Services à Washington, regroupant toutes les franchises Jacques Dessange du pays : salons de coiffure, instituts de beauté, école de coiffure, distribution des produits Jacques Dessange. Le Groupe se développe et représente aujourd’hui un des actifs les plus prometteurs du groupe Jacques Dessange.

Le cumul des activités très rémunératrice d’ADO et l’empilement de « pompes à fric » de Dominique supposent des moyens de réintégration « légale » sur des comptes en banques des fortunes ainsi dégagées. Il faut donc couvrir cela sous une apparence inattaquable. C’est donc l’humanitaire qui devient la priorité. Tout d’abord, à partir 1980, elle effectue des missions « humanitaires » en Côte d`Ivoire. Les flux financiers prenant de l’ampleur, elle décide, en 1998, de créer la fondation Children of Africa. Quoi de plus imparable ? Qui croirait que les enfants d’Afrique sont la couverture d’un gigantesque système de prédation et de transferts de fonds. Cosa Nostra en a rêvé, Domnique Ouattara l’a fait !

Via :Le mot d’humeur de Jean Charles Fadinga.com

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L’ex-PDG du pétrolier Ioukos Mikhaïl Khodorkovski et son associé Platon Lebedev ont été reconnus « coupables » lundi par un tribunal moscovite dans le cadre leur deuxième procès pour le vol de millions de tonnes de pétrole, une affaire qui n’a de cesse de diviser la Russie et l’Occident.

« La justice a établi que MM. Khodorkovski et Lebedev ont détourné les biens d’autrui en recourant à l’abus de pouvoir« , a déclaré le juge Viktor Danilkine, donnant lecture du verdict.

« MM.Khodorkovski et Lebedev ainsi que les autres membres de leur groupe organisé géraient les moyens volés selon leur propre gré, les utilisant en majeure partie à des fins d’enrichissement personnel, le reste étant investi dans les entreprises existantes d’extraction et de raffinage de pétrole, afin de pouvoir maintenir la production et de continuer de s’enrichir », a poursuivi le juge.

« Dans le but de dissimuler au fisc et aux autres organismes de contrôle le caractère fictif de ces sociétés, le plan de détournement développé par les deux accusés (…) prévoyait un renouvellement permanent des schémas artificiels de vente de pétrole par le biais de la substitution régulière des sociétés fictives les unes aux autres ».

M. Khodorkovski, incarcéré depuis 2003, et Platon Lebedev, chef de la banque Menatep, sont jugés depuis mars 2009 pour le vol de 218 millions de tonnes de pétrole dans le cadre d’un deuxième procès.

L’ancien patron de Ioukos achève une peine de huit ans de prison pour fraudes et évasion fiscale et devait théoriquement sortir au cours de l’année 2011.

Via : Ria Novosti

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Bakchich a déterré un câble diplomatique passé inaperçu sur le site WikiLeaks. Où l’on apprend que les bandits israéliens règnent désormais sur le crime organisé mondial.

Comme une odeur de Coppola chaud dans l’arrière-cuisine israélienne. Un câble diplomatique daté de mai 2009, déniché par Bakchich sur le site WikiLeaks, déroule le film des parrains en Terre promise, façon Francis Ford.

https://i0.wp.com/a7.idata.over-blog.com/4/03/33/13/Mafiapremieredecouv.jpgLe scénariste : James Cunningham, ambassadeur des États-Unis en Israël. Les protagonistes : les gredins du crime organisé israélien. L’intrigue : leur influence grandissante au sein de l’État juif, leurs réseaux en Europe et outre-Atlantique. Une bien noire histoire où l’on apprend qu’à l’origine « cinq ou six familles ont traditionnellement dominé le crime organisé en Israël ». Mais que, « ces dernières années, il y a eu une forte augmentation de la portée et de l’impact de nouveaux réseaux ». Le contrôle d’une région par famille, c’est fini !

« L’ancienne école cède la place à une nouvelle race de la criminalité, plus violente », note l’ambassadeur. Fondée sur « une meilleure connaissance des explosifs de haute technologie, acquise au contact du service de défense des forces israéliennes ». Pour une dernière volonté : « Recourir à la violence aveugle. »

Empreinte russe

Une arme fatale à la hauteur de leur folie des grandeurs. Les nouveaux parrains israéliens « jouent maintenant un rôle significatif dans le commerce mondial de la drogue, fournissant à la fois le marché de la consommation locale et servant de point de transit vers l’Europe et les États-Unis ». Et l’émissaire américain de rapporter qu’en mars 2009 la police nationale a arrêté 12 suspects « dans ce qui est considéré comme le plus grand réseau de trafic humain mené par Israël à ce jour ». Soit la « contrebande de milliers de femmes de l’ancienne Union soviétique, forcées de travailler comme prostituées en Israël, à Chypre, en Belgique et en Grande-Bretagne ».

Dessin de Large

L’ogre rouge, replet de billets verts, n’est jamais très loin. Il est, en terre sainte, comme à la maison. Ainsi, « de nombreux oligarques russes d’origine juive et des membres du crime organisé ont obtenu la citoyenneté israélienne, ou, du moins, conservent leur résidence dans le pays ».

Et voyager avec un visa ? Pas de problème ! Au printemps 2009, trois noms du milieu ont pu participer, à Las Vegas, à une « convention sur les métiers de la sécurité ». Des petits soins possibles à une condition : avoir un casier judiciaire blanc comme neige, en évitant les condamnations pénales. En langage diplomatique, cela donne : « Des Israéliens connus pour travailler ou appartenir à des familles du crime organisé ne sont pas automatiquement inéligibles pour voyager aux États-Unis. »

Soutiens politiques

Au niveau des soutiens politiques de l’organisation, l’ambassadeur a sa petite idée sur le sujet. Ainsi de la députée du Likoud Inbal Gavrieli, élue en 2003, « fille d’un patron présumé du crime » et qui a tenté d’« utiliser son immunité parlementaire pour bloquer les enquêtes dans les affaires de son père ». Et de s’interroger sur la mesure « dans [laquelle] les éléments du crime organisé ont pénétré l’establishment israélien et corrompu des agents publics »… Jérusalem, j’ai rusé l’âme.

Via : Bakchich.fr

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(Lawrence Franklin, Kenneth Pollack)

En 2005, le FBI a mis en cause un cadre du Pentagone, le colonel Lawrence Franklin, et un ancien analyste du Conseil de sécurité nationale devenu chercheur à la Brookings Institution, Kenneth Pollack.

Les deux hommes, à des titres divers, auraient transmis des secrets d’Etat à deux responsables de l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC), Steve J. Rosen et Keith Weissman ; lesquels les auraient remis au chargé d’affaire de l’ambassade d’Israël à Washington, Naor Gilon,.

L’enquête du FBI a permis d’établir les faits, mais pas de les qualifier. Ces secrets ont-ils été donnés sans contrepartie ou dans le cadre d’un échange d’information ? S’agissait-il d’espionnage ou de fuites ? Et la révélation de ces secrets a t-elle porté tort aux Etats-Unis au bénéfice de son allié israélien ?

Au passage, la saisie des ordinateurs de l’AIPAC a permis de découvrir que l’AIPAC, qui se définit comme « le lobby pro-Israélien en Amérique », avait financé la carrière du politicien français Nicolas Sarkozy. A l’époque, l’ambassadeur d’Israël à Paris s’était précipité à l’Elysée pour assurer le président Jacques Chirac que son pays n’était aucunement impliqué dans cette ingérence, laquelle était exclusivement imputable au zèle de quelques amis états-uniens.

Quoi qu’il en soit, pris dans une tourmente de politique intérieure Lawrence Franklin fut d’abord condamné à 12 ans et 7 mois de prison ferme pour espionnage ; peine qui fut réduite à 10 mois de prison et 100 heures de travaux d’intérêt général.

Après avoir longtemps soutenu ses employés, l’AIPAC a fini par les lâcher. Steve J. Rosen [à gauche sur la photo, avec son avocat à droite], se retrouvant sans emploi et au centre de plusieurs procédures judiciaires, se retourna contre son ancien employeur. Cette situation donne lieu à un grand déballage.

Il apparaît que l’AIPAC reçoit fréquemment, de sources diverses, des informations confidentielles dont elle fait usage au profit d’Israël.

Via : Le Réseau Voltaire

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Vous avez devant vous, des bonnes sœurs, victimes d’une bande organisée! » s’enflammait hier maître Miceli, avocate de la partie civile représentant l’OGEC Jeanne d’Arc (Organisme de gestion de l’enseignement catholique). Ce lycée privé catholique arlésien est en effet à l’origine du procès pour escroquerie qui s’est tenu hier devant le tribunal correctionnel de Tarascon à l’encontre d’Olivier, 43 ans, de Menahem-Mendel, 31 ans, et Fabrice, 35 ans.

Les faits remontent au printemps 2005. Une année particulièrement marquante pour l’équipe pédagogique de Jeanne-d’Arc qui avait vu l’un de ses employés mis en cause dans ce qu’on appelle pudiquement « une affaire de moeurs ». Face à un chiffre d’affaires en baisse et à la recherche de nouveaux élèves, le nouveau directeur financier avait répondu à un démarchage commercial et signé un contrat pour de la publicité.

Sauf que quelques jours plus tard, un interlocuteur se prévalant du titre ronflant d' »employé de la cellule d’endettement du ministère des finances » vient lui faire remarquer qu’il s’est engagé sur 5 ans pour un montant de 800 000 euros.

Il l’exhorte donc à se désengager mais, pour cela, il faut payer près de 300 000 euros. Un moyen de limiter la casse selon le directeur qui, malgré ses soucis financiers, débourse cette somme en à peine deux mois. Jusqu’à ce qu’il se rende compte que les numéros de téléphone qu’on lui a laissés sont faux, et qu’il porte plainte.

Pendant ce temps, l’argent du lycée s’était échappé loin de là, c’est à dire en Suisse. C’est l’un des prévenus, Fabrice, qui aurait demandé au fils d’un banquier très connu à Genève, pour rendre service à un ami israélien, de lui trouver un « compte ancien, solide » qui permettrait de décaisser des sommes importantes sans éveiller les soupçons des autorités.

Menahem est alors allé demander l’aide de son voisin, Olivier, chef d’entreprise en difficulté financière depuis son divorce. « Je n’ai jamais pensé que c’était 100% honnête mais je ne savais pas d’où venait cet argent. Je n’avais pas imaginé la folie de la chose » a déclaré Menahem, reconnaissant son implication, à l’instar de ses coprévenus. Dont les avocats, maîtres Mairin, Koplewicz et Abad, ont pourtant plaidé la relaxe. En effet, les trois prévenus ne sont poursuivis que pour complicité d’une escroquerie d’une ampleur beaucoup plus importante puisqu’elle porte sur plus de 2 millions de dollars.

Cette affaire est toujours à l’instruction au pôle financier de Paris, mais le principal mis en cause, c’est à dire l' »ami israélien » n’a jamais été retrouvé. « La police ne l’a pas repéré…il suffit pourtant de taper son nom sur facebook pour le trouver » faisait remarquer un prévenu. « Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas l’auteur principal des faits que cela nous empêche de juger les complices » lui a répondu la nouvelle vice-procureur de Tarascon, Gwenaelle Le Flao.

Soulignant que les trois prévenus qui « gravitent dans le milieu des affaires » ne sont « pas ignorants des règles« , elle a requis deux ans de détention dont un avec sursis. « Ce sont les lieutenants d’un réseau international organisé » avançait encore la partie civile, avant de réclamer le remboursement des sommes escroquées, ainsi que la somme mirobolante de 80 000 euros de dommage et intérêts au titre du préjudice moral. Une requête contre laquelle s’est élevée la défense, se demandant alors ironiquement combien les parents d’élèves seraient en droit de réclamer…

Le tribunal a mis sa décision en délibéré jusqu’au 10 février.

Via : La Provence.com

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Deux fans du film « Wall Street » ont été pris la main dans le sac par les autorités boursières américaines après avoir profité d’un délit d’initié, qu’ils avaient tenté de dissimuler en détournant des répliques du film, ont annoncé mercredi ces autorités dans un communiqué.

Le régulateur boursier, la SEC, a porté plainte devant un tribunal californien contre Brett Cohen, 38 ans, le fondateur d’une société de consultants, et son oncle David Mayers, 54 ans, qui ont communiqué sur un tuyau boursier d’une manière uniquement compréhensible pour ceux qui se souviennent de ce succès d’Hollywood.

« Wall Street » (1987) raconte l’ascension et la chute d’un jeune trader dont la carrière est lancée par un délit d’initié sur une compagnie aérienne où son père est ouvrier de maintenance et syndicaliste.

M. Cohen avait obtenu des informations confidentielles sur le rachat d’une société de biotechnologies, Exas, que préparait en 2008 un concurrent, Sequenom. Il avait alors prévenu son oncle d’acheter des actions Exas, qui allaient décoller de 50% en un jour après l’annonce du rachat.

En 2009, il avait également obtenu des informations selon lesquelles Sequenom allait annoncer l’échec d’un programme de recherches. Après cette annonce, les actions du groupe allaient chuter de 76% en un jour.

Le bénéfice des deux hommes avait dépassé les 600.000 dollars.

A part les heures des échanges téléphoniques de M. Cohen avec son informateur et son oncle, l’argumentaire de la SEC repose principalement sur un courrier électronique qui utilise une réplique de « Wall Street ».

Ce courrier mentionne « Blue Horseshoe« . Dans le film, « Blue Horseshoe adore Anacott Steel » est un signal pour dire d’acheter l’action de ce groupe sidérurgique fictif, dont le cours va être gonflé par de fausses rumeurs.

Via : AFP.com

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Le liquidateur du fonds de l’escroc américain Bernard Madoff a lancé vendredi des poursuites contre la banquière autrichienne Sonja Kohn, accusée d’avoir été complice de la plus vaste fraude financière jamais connue, et cherche à recouvrer auprès d’elle 19,6 milliards de dollars.

Mme Kohn, fondatrice de la banque autrichienne Medici, est accusée dans la plainte d’avoir « pendant plus de vingt ans orchestré une vaste machination illégale pour exploiter sa relation privilégiée avec Bernard Madoff et alimenter à hauteur de 9,1 milliards de dollars de fonds appartenant à d’autres sa vaste escroquerie pyramidale ».

Les activités illégales de Mme Kohn ont commencé quand elle rencontré M. Madoff en 1985 à New York, est-il précisé, et « se poursuivent », ajoute la plainte.

« M. Madoff payait Mme Kohn » qui rabattait l’argent de ses clients vers le fonds de M. Madoff qui la payait secrètement en retour, selon la même source.

« La perte totale de la fraude pyramidale est estimée à 19,6 milliards de dollars en dépôts nets d’investisseurs et sans l’aide de Mme Kohn cette escroquerie n’aurait pas pu continuer pendant aussi longtemps », ajoute la plainte.

Le liquidateur demande « à recouvrer 19,6 milliards de dollars » auprès d’elle, de sa famille et de plusieurs banques. La somme réclamée dans cette plainte est la plus forte à ce jour dans le cadre du dossier Madoff.

Via : AFP.com

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La Russie a libéré le mercenaire israélien Yair Klein dont la Colombie réclamait l’extradition, et il est en route vers son pays, a annoncé vendredi l’agence Interfax, citant une source au sein des forces de l’ordre. « Klein a été libéré et il est actuellement en route vers Israël« , a indiqué cette source à Interfax. Aucune précision n’a été donnée.

Le mercenaire a été condamné à dix ans et huit mois de prison en Colombie en 2001, pour avoir enseigné des techniques militaires et terroristes à des paramilitaires. En août 2007, il a été arrêté à Moscou en vertu d’un mandat d’arrêt d’Interpol en vue de son extradition vers la Colombie.

Via : Europe 1

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Le ministre français des Affaires étrangères et européennes, Michèle Alliot-Marie, exposera les grandes lignes de la politique étrangère de la France devant des dirigeants du judaïsme européen qui se réuniront dimanche à Paris.

A l’initiative du Congrès Juif Européen (CJE), une quarantaine de responsables des communautés juives discuteront du présent et de l’avenir des Juifs d’Europe confrontés à la progression de l’antisémitisme et à une tentative de délégitimisation de l’Etat d’Israël.

Selon le CJE, les dirigeants juifs porteront la parole et les préoccupations des 2 millions et demi de Juifs d’Europe.

Via : European Jewish Press.com

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https://observatoiredeladiaspora.files.wordpress.com/2010/08/national-radical.gif?w=400&h=562

Communiqué du bureau politique du Parti national radical.

Du jamais vu, en France, depuis la ‘‘libération’’ !

Maurice Martinet, président du Parti National Radical vient d’être condamné, en qualité de Directeur de la publication du National Radical, à deux mois de prison ferme par le Tribunal correctionnel de Grenoble.

Après avoir été assigné en référé le 12 juillet 2010 par l’Union des Etudiants Juifs de France devant la 17è Chambre correctionnelle de Paris aux fins de voir retirer de la vente le seizième numéro du National Radj’accuseical qui titrait : « les Juifs qui dominent la France », Maurice Martinet s’est vu à nouveau assigné par la LICRA à comparaitre devant le Tribunal correctionnel de Grenoble le 9 septembre 2010.

Ainsi, l’ordonnance de référé ordonnait le retrait immédiat du N° 16 de la publication Le National Radical et accordait magnanimement la somme de 500 € à Marc Knobel, intervenant volontaire rôdé aux pratiques du commerce de l’antiracisme, 1.500 € à l’UEJF, et 1 500 € à ‘‘J’accuse ! Action Internationale pour la Justice’’, autres pompes à fric communautaires drapées des vertus humanistes.

Quant au jugement de Grenoble, rendu le 29 novembre, présidé par Mme Broutechoux, il condamne Maurice Martinet à deux mois de prison ferme, le déclare responsable du préjudice causé à la LICRA (que nous rebaptisons pour la circonstance Ligue Internationale des Cercles Racistes Antifrançais) et le condamne à lui verser les sommes de 5 000 € à titre de dommages et intérêts et 1 500 € sur le fondement des dispositions de l’article 475-1 du Code de procédure pénale (on le constate, ce commerce est très lucratif !) et ordonne la publication du jugement par extrait dans le Dauphiné ‘‘Libéré’’, Le Monde, le coût de chacune des insertions ne devant pas excéder 1 500 €

Maurice Martinet écope donc de deux mois de prison ferme pour avoir divulgué une liste de noms de 308 juifs […] de nos médias nationaux et des autres figures illustres qui monopolisent le showbiz, le monde politique et celui des affaires. Voilà le ‘‘crime’’ !

Précision est donnée que le procureur avait requis 100 jours-amendes de 50 € en excluant l’emprisonnement. Etait-ce alors une simple comédie pour faire bon effet devant une salle comble alors qu’il savait que le Tribunal irait, fait assez rare, bien au delà de ses réquisitions ?

Nous reviendrons sur la teneur du jugement qui sera par ailleurs reproduit et commenté dans la prochaine édition du National Radical.

Nous savons maintenant, qu’en France – pays qui se targue d’être celui des Droits de l’homme – il nous est interdit d’écrire […] dès qu’il s’agit de la communauté juive. Les Français n’ont plus que le droit de gober, sans sourciller, toutes les ‘‘vérités’’ qu’on nous assène à longueur d’émissions télévisées sans pouvoir élever la moindre contestation.

En France, aujourd’hui, il est plus grave de dire que nos médias, que le monde du showbiz et qu’une grande partie du monde politique et des affaires sont […] des Juifs, que de laisser mourir son jeune enfant dans sa voiture.

L’exemple de cette mère d’une fillette de 18 mois morte dans sa voiture où elle l’avait… oubliée, qui a été reconnue coupable d’homicide involontaire puis incroyablement dispensée de peine par le Tribunal de Créteil est significatif de la dérive inquiétante de nos institutions !

Aujourd’hui, ce ne sont plus les Juifs qui sont persécutés, mais nos propres nationaux. En somme, sous prétexte de prévenir un hypothétique retour au nazisme, ils se comportent maintenant eux-mêmes comme de véritables nazis.

Tragique retour de situation, après avoir été spoliés de leurs biens et enfermés dans des camps où ils mouraient de faim, ils veulent maintenant, par soif de vengeance, assouvir leur haine en faisant jeter en prison des militants nationalistes innocents et les ruiner par de lourdes amendes pour les voir mourir de faim dans des camps invisibles !

L’histoire va-t-elle devoir se répéter ?

Mais pour l’heure, il vient d’être interjeté appel de cette condamnation qui, si elle était confirmée ou même aggravée ne pourra, si notre détermination et notre volonté de vaincre restent entière, qu’avoir un effet positif sur l’évolution du Parti National Radical.

Quand on commence à emprisonner les leaders politiques et à bâillonner la Presse libre, c’est l’aveu que le pouvoir politique commence à trembler  !

Vive la Résistance, vive la France.

Le Bureau politique du PNR.

Le national radical « Les juifs qui dominent la France » en PDF : https://observatoiredeladiaspora.files.wordpress.com/2010/08/les-juifs-qui-dominent-la-france-prn_juin_2010-1.pdf

Télécharger : http://www.mediafire.com/?my4wjk5bgkllm5l

Voir aussi : Sommes-nous en judéocratie ?

Via : Le Parti National Radical

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https://i0.wp.com/medias.lepost.fr/ill/2010/10/02/h-20-2246667-1286040871.jpg

Le ministère de la Culture a fait valoir le 2 décembre son droit de préemption sur quatre cahiers de mémoires et une centaine de documents ayant appartenu à Louis Ménard, greffier en chef à la Cour de cassation lors du premier procès en révision d’Alfred Dreyfus en 1899.

Pour 1.800 euros, le directeur des archives départementales des Hautes-Pyrénées François Giustiniani a pris possession au nom du ministère des écrits d’un fonctionnaire qui, sans avoir été un des acteurs de premier plan du grand scandale de la Troisième République, a vu passer à la Cour de cassation, généraux ou politiciens, a entendu certains d’entre eux déposer, a parlé à d’autres avant ou après leur audition.

Cela “ne va pas révolutionner l’histoire de l’affaire Dreyfus”, concède François Giustiniani. Mais ce qui pourra intéresser les historiens, au-delà du regard de l’intérieur, “c’est la vision d’un homme qui est antidreyfusard” et qui jette une autre lumière sur certains dreyfusards, agissant “non pas nécessairement par sens de la justice, par grandeur d’âme (tout le mmonde n’est pas Zola) mais par intérêt”.

Louis Ménard « évoque un conseil des ministres où Brisson aurait dit qu’il fallait faire en sorte de laver Dreyfus des soupçons parce que les Républicains ( ce sont des mots que cite Ménard ) devaient beaucoup à l’or des juifs« .

Via : Le Figaro.fr

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