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Cinq informations judiciaires ont été ouvertes dans l’affaire de la fraude à la TVA sur le CO2, qui aurait fait perdre au fisc 1,5 milliard d’euros. Mais les poursuites se concentrent sur quelques profils. La responsabilité des intermédiaires et de l’administration reste taboue.

Emprunter un jet privé pour aller au ski peut coûter très cher. Fabrice S., incarcéré depuis l’hiver dernier, en sait quelque chose. Il est soupçonné d’avoir participé à la fraude à la TVA sur le marché du CO2, qui place aujourd’hui le pôle financier du tribunal de grande instance de Paris en ébullition. Selon nos informations, pas moins de cinq informations judiciaires sont en cours, confiées à quatre juges d’instruction.

Chèque douteux et Aston Martin

C’est bien la facture d’un week-end à la montagne qui a mis la puce à l’oreille d’un policier versaillais qui épluchait les comptes de Fabrice S. pour une histoire de chèque douteux. Et peut-être aussi l’Aston Martin. Au départ, le commerçant vendait du textile sur les marchés. Un business prospère, spécialisé sur la distribution de jeans Diesel et de Converse. Marié, père de deux enfants et très impliqué au sein de la communauté juive de la banlieue parisienne où il réside, Fabrice S. ne donne a priori pas dans le bling-bling. Jusqu’à 2009, où les affaires décollent un peu trop vite, selon les enquêteurs. Lesquels soupçonnent aujourd’hui l’homme de s’être enrichi en participant au grand tournoi de « fraude au carrousel » sur le CO2, qui a allégé les caisses de l’État français de 1,5 milliard d’euros entre 2008 et 2009, selon un spécialiste du marché. Les fraudeurs achetaient des quotas hors taxes à l’étranger, et les revendaient taxes comprises en France avant de disparaître avec 19,6 % de bénéfice.

Gérant de fait

https://i0.wp.com/blog.ulurubeagle.com/wp-content/uploads/2009/01/fraude-300x300.gifSelon un proche du dossier, il est accusé d’être gérant de fait de la société Nathanael, une société de textile dont les comptes reflètent des mouvements de fonds impressionnants, soit 263 millions d’euros en deux mois transférés à l’étranger. La justice le soupçonne d’avoir extorqué quelque 43 millions d’euros au fisc, entre mars et le début du mois de juin 2009. Un de ses comparses, Aroun C. s’est réfugié en Israël, où il a été entendu par la police israélienne cet été. Sachant qu’Israël n’a pas d’accord d’extradition avec la France, les juges craignent que Fabrice S. suive le même chemin. Pourtant, son profil tranche avec les autres personnes mises en examen, dont l’implication dans cette fraude semble nettement plus réfléchie.

Sous les verrous

À commencer par Grégory Z., également sous les verrous. Gérant de la société Crépuscule, ce dernier était plutôt bien introduit dans la finance carbone. Sa société était d’ailleurs membre du marché du CO2 français depuis mai 2007, soit avant même la création de la place de marché BlueNext, fin 2007, qui a hérité des actifs de Powernext. « Au printemps 2009, quand on a appris que Gregory Z. s’était fait choper, on était surpris », assure un intervenant du marché.

À bien y regarder, Fabrice S. et Gregory Z. n’ont pas grand-chose en commun, si ce n’est le fait d’avoir momentanément partagé une cellule à la prison de la Santé…, un comble alors que les deux détenus le sont notamment pour éviter une circulation d’informations entre les protagonistes. Avec ses bureaux fantômes, installés boulevard de Sébastopol, dans une société de location de bureaux, et les multiples identités et sociétés avec lesquelles elle travaillait, Crépuscule a pris grand soin de dissimuler ses activités, tout en soignant ses relations. Ce qui est également le cas de bon nombre d’intermédiaires du marché du CO2, qui couraient les colloques et les cocktails en 2008 et 2009, et se font aujourd’hui plus discrets.

Voltalia sur la sellette

http://les4elements.typepad.fr/.a/6a00d83529ea3953ef0148c699ea95970c-800wiLa société Voltalia, cotée au Marché Libre et membre de BlueNext, qui génère des crédits de CO2 notamment en Guyane et au Brésil, avec des actionnaires prestigieux au capital, comme la famille Mulliez ou la Caisse des dépôts, aurait ainsi servi d’intermédiaire à la société Nathanael pour accéder au marché du CO2, selon certains témoignages recueillis par la justice. Contacté par « La Tribune », Robert Dardanne, le PDG de Voltalia, s’est refusé à tout commentaire.

Fraude avérée

D’autres structures, dont TerraNova Market, qui était membre du marché du CO2 de longue date, seraient aussi impliquées dans les montages. Elles ne sont cependant pas inquiétées par la justice. La société Nathanael est au contraire arrivée tout à la fin de la période de fraude : les transferts de fonds suspects qui lui sont reprochés portent sur trois mois, de mars à juin 2009. Une période où la fraude n’était plus une hypothèse. Les mouvements suspects reprochés à une des sociétés travaillant avec Nathanael, Max Sky, inquiétaient BlueNext dès le mois de mars. « Il y a eu des alertes, la taille de la négociation était supérieure à la moyenne d’une journée », a expliqué cet été la directrice juridique de BlueNext aux enquêteurs.

La Caisse des dépôts et consignations, actionnaire de BlueNext à 40 % mais aussi gestionnaire du registre de quotas de CO2, avait de son côté mis en garde dès le mois de décembre 2009 les services de Bercy. Et, selon nos informations, le cabinet de Christine Lagarde avait aussi été destinataire, le 30 janvier 2009, d’un courrier de la part du directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, Augustin de Romanet. Lequel alertait sur le risque de fraude, en réclamant la suppression de l’impôt.

Il faudra plusieurs réunions entre les parties prenantes, c’est-à-dire la CDC et les cabinets d’Éric Woerth, alors ministre du Budget, et celui de la ministre de l’Économie, avant que la décision soit prise, le 15 mai 2009, de supprimer la taxe, lors d’une réunion au cabinet du ministre. Et trois semaines de plus pour sa mise en oeuvre, début juin. Une lenteur regrettable : entre le 15 mai et le 9 juin, date de la suppression effective de la TVA, 1,24 milliard de tonnes de CO2 ont été échangées sur BlueNext. Si l’on considère que 90 % des échanges étaient le fait de fraudeurs, et un prix moyen de 14,31 euros par tonne de CO2 sur la période, la perte pour le fisc dépasse les 300 millions d’euros. En moins de trois semaines.

Neuf enquêtes préliminaires et cinq informations judiciaires

Dix-huit mois plus tard, neuf enquêtes préliminaires ont été ouvertes à Paris. Et cinq informations judiciaires sont en cours, réparties entre quatre juges du pôle financier du tribunal de grande instance. Le juge Jean-Marie d’Huy a hérité de deux autres dossiers en plus de Crépuscule, tandis que Renaud Van Ruymbeke s’est attelé à une des instructions. Les juges Aude Buresi et Guillaume Daieff, du pôle de lutte contre la délinquance astucieuse, créé en 2009 et rattaché au pôle financier, sont chargés du dossier Nathanael. Le partage des dossiers entre quatre juges d’instruction, alors que le pôle financier en compte onze, témoigne de l’ampleur de l’affaire, même si, de l’aveu d’une source proche de l’enquête, « les moyens alloués à la lutte contre la fraude sont limités ».

Désinvolture à Bercy

Si les services du TGI sont mobilisés, ceux de Bercy manifestent en revanche une certaine désinvolture. Dans le dossier Nathanael, le Trésor a attendu plusieurs mois d’instruction avant de se porter partie civile, très récemment. Les poursuites ne semblent pas constituer une priorité pour le Trésor, principale victime de la fraude estimée à 5 milliards d’euros par Europol, dont 1,5 milliard en France.

Un pas en avant au Danemark

Le Danemark, dont le registre des quotas de C02 a attiré plus de 1.200 participants en 2009 lors du pic de fraude à la TVA, vient de faire un pas en avant pour mieux comprendre ce qui s’est passé. La commission des Finances du Parlement danois a en effet mandaté, la semaine dernière, la Cour des comptes locale (Rigsrevisionen) pour établir un rapport sur le sujet. Dans un premier temps, le Rigsrevisionen se consacrera à analyser la responsabilité du gouvernement danois, lors de la fraude, en 2008 et 2009. Et plus, précisément, celle du ministère de l’Environnement qui gérait le registre des quotas. L’actuelle commissaire européenne à l’Environnement, Connie Heddegard, était alors ministre de l’Environnement.

La faculté d’ouvrir des comptes de quotas était théoriquement ouverte à tout détenteur de carte d’identité, mais le registre danois a poussé le laxisme un peu plus loin que les autres en supprimant tout type de contrôle. La Caisse des Dépôts et Consignations, qui tenait le registre en France, demandait au moins un extrait des comptes d’une société. Ce qui ne l’a pas empêché d’héberger, en masse, des profils étonnants : des traders ne disposant que d’adresses de courriels ou de téléphones portables à Hong-Kong. Mais en nombre plus restreint. De nombreux ressortissants français étaient par ailleurs inscrits sur le registre danois.

Justice internationale

Selon Rasmus Borup, du secrétariat général du Rigsrevisionen, la seconde partie de l’enquête concerne « une coopération internationale entre les cours des comptes des autres pays concernés par la fraude ». Le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Pologne auraient déjà assuré la cour des Comptes danoise de leur collaboration. En France, « la Cour des comptes n’a pas encore été contactée », constate Christian Descheemaeker, président de la septième chambre en charge des questions d’environnement. Laquelle avait remis en 2008 aux commissions des Finances du Sénat et de l’Assemblée un référé sur le marché des quotas, et continue de s’intéresser au dossier.

Via : La tribune.fr

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Benjamin Netanyahu a demandé à Barack Obama de gracier Jonathan Pollard, qui purge depuis 25 ans une peine de réclusion à perpétuité aux Etats-Unis pour espionnage au profit d’Israël. Le chef du gouvernement israélien a lu mardi devant la Knesset la lettre qu’il a adressée au président américain, dans laquelle il demande «au nom de la nation d’Israël, de gracier Jonathan Pollard, qui travaillait comme agent du gouvernement israélien au moment de son arrestation».

Cet ancien analyste de la marine américaine a été arrêté en 1985 devant l’ambassade d’Israël à Washington. Il a été condamné pour avoir fourni des milliers de documents confidentiels à Israël. Après avoir plaidé coupable, Jonathan Pollard a été condamné à la prison à vie en 1987.

A l’époque, Israël avait présenté les agissements de Pollard comme le résultat d’une opération menée sans l’aval des autorités. Israël a accordé la nationalité israélienne à Pollard en 1996 avant d’admettre deux ans plus tard quil était bien l’un de ses espions.

Via : 20 Minutes.fr

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Bakchich a déterré un câble diplomatique passé inaperçu sur le site WikiLeaks. Où l’on apprend que les bandits israéliens règnent désormais sur le crime organisé mondial.

Comme une odeur de Coppola chaud dans l’arrière-cuisine israélienne. Un câble diplomatique daté de mai 2009, déniché par Bakchich sur le site WikiLeaks, déroule le film des parrains en Terre promise, façon Francis Ford.

https://i0.wp.com/a7.idata.over-blog.com/4/03/33/13/Mafiapremieredecouv.jpgLe scénariste : James Cunningham, ambassadeur des États-Unis en Israël. Les protagonistes : les gredins du crime organisé israélien. L’intrigue : leur influence grandissante au sein de l’État juif, leurs réseaux en Europe et outre-Atlantique. Une bien noire histoire où l’on apprend qu’à l’origine « cinq ou six familles ont traditionnellement dominé le crime organisé en Israël ». Mais que, « ces dernières années, il y a eu une forte augmentation de la portée et de l’impact de nouveaux réseaux ». Le contrôle d’une région par famille, c’est fini !

« L’ancienne école cède la place à une nouvelle race de la criminalité, plus violente », note l’ambassadeur. Fondée sur « une meilleure connaissance des explosifs de haute technologie, acquise au contact du service de défense des forces israéliennes ». Pour une dernière volonté : « Recourir à la violence aveugle. »

Empreinte russe

Une arme fatale à la hauteur de leur folie des grandeurs. Les nouveaux parrains israéliens « jouent maintenant un rôle significatif dans le commerce mondial de la drogue, fournissant à la fois le marché de la consommation locale et servant de point de transit vers l’Europe et les États-Unis ». Et l’émissaire américain de rapporter qu’en mars 2009 la police nationale a arrêté 12 suspects « dans ce qui est considéré comme le plus grand réseau de trafic humain mené par Israël à ce jour ». Soit la « contrebande de milliers de femmes de l’ancienne Union soviétique, forcées de travailler comme prostituées en Israël, à Chypre, en Belgique et en Grande-Bretagne ».

Dessin de Large

L’ogre rouge, replet de billets verts, n’est jamais très loin. Il est, en terre sainte, comme à la maison. Ainsi, « de nombreux oligarques russes d’origine juive et des membres du crime organisé ont obtenu la citoyenneté israélienne, ou, du moins, conservent leur résidence dans le pays ».

Et voyager avec un visa ? Pas de problème ! Au printemps 2009, trois noms du milieu ont pu participer, à Las Vegas, à une « convention sur les métiers de la sécurité ». Des petits soins possibles à une condition : avoir un casier judiciaire blanc comme neige, en évitant les condamnations pénales. En langage diplomatique, cela donne : « Des Israéliens connus pour travailler ou appartenir à des familles du crime organisé ne sont pas automatiquement inéligibles pour voyager aux États-Unis. »

Soutiens politiques

Au niveau des soutiens politiques de l’organisation, l’ambassadeur a sa petite idée sur le sujet. Ainsi de la députée du Likoud Inbal Gavrieli, élue en 2003, « fille d’un patron présumé du crime » et qui a tenté d’« utiliser son immunité parlementaire pour bloquer les enquêtes dans les affaires de son père ». Et de s’interroger sur la mesure « dans [laquelle] les éléments du crime organisé ont pénétré l’establishment israélien et corrompu des agents publics »… Jérusalem, j’ai rusé l’âme.

Via : Bakchich.fr

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Le Comité permanent belge de contrôle des services de renseignement et de sécurité soupçonne Israël d’avoir installé les micros d’espionnage découverts en 2003 au siège du Conseil de l’UE à Bruxelles, rapporte le site internet EUobserver.

Selon la source, le rapport du Comité indique que les deux personnes soupçonnées d’avoir installé des dispositifs d’espionnage ont suivi un entraînement au sein de l’entreprise de télécommunication israélienne Comverse, connue pour ses liens avec le Mossad (service de renseignement israélien, ndlr).

Des micros ont été découverts en février-mars 2003 dans la partie du bâtiment Justus Lipsius, siège principal du Conseil de l’Union européenne, utilisée par les diplomates britanniques, français, espagnols et allemands.

« Nous ne disposons pas de preuves concrètes (de l’implication du Mossad, ndlr). Mais il s’agit d’un équipement avancé, installé dans les années 1993-94, rares étaient les pays qui avaient de tels moyens à cette époque. Ca peut être Israël, la Russie, l’Angleterre ou les Etats-Unis », a indiqué Peter de Smet, un membre du Comité permanent, cité par EUobserver.

Via : Ria Novosti.ru

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(Lawrence Franklin, Kenneth Pollack)

En 2005, le FBI a mis en cause un cadre du Pentagone, le colonel Lawrence Franklin, et un ancien analyste du Conseil de sécurité nationale devenu chercheur à la Brookings Institution, Kenneth Pollack.

Les deux hommes, à des titres divers, auraient transmis des secrets d’Etat à deux responsables de l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC), Steve J. Rosen et Keith Weissman ; lesquels les auraient remis au chargé d’affaire de l’ambassade d’Israël à Washington, Naor Gilon,.

L’enquête du FBI a permis d’établir les faits, mais pas de les qualifier. Ces secrets ont-ils été donnés sans contrepartie ou dans le cadre d’un échange d’information ? S’agissait-il d’espionnage ou de fuites ? Et la révélation de ces secrets a t-elle porté tort aux Etats-Unis au bénéfice de son allié israélien ?

Au passage, la saisie des ordinateurs de l’AIPAC a permis de découvrir que l’AIPAC, qui se définit comme « le lobby pro-Israélien en Amérique », avait financé la carrière du politicien français Nicolas Sarkozy. A l’époque, l’ambassadeur d’Israël à Paris s’était précipité à l’Elysée pour assurer le président Jacques Chirac que son pays n’était aucunement impliqué dans cette ingérence, laquelle était exclusivement imputable au zèle de quelques amis états-uniens.

Quoi qu’il en soit, pris dans une tourmente de politique intérieure Lawrence Franklin fut d’abord condamné à 12 ans et 7 mois de prison ferme pour espionnage ; peine qui fut réduite à 10 mois de prison et 100 heures de travaux d’intérêt général.

Après avoir longtemps soutenu ses employés, l’AIPAC a fini par les lâcher. Steve J. Rosen [à gauche sur la photo, avec son avocat à droite], se retrouvant sans emploi et au centre de plusieurs procédures judiciaires, se retourna contre son ancien employeur. Cette situation donne lieu à un grand déballage.

Il apparaît que l’AIPAC reçoit fréquemment, de sources diverses, des informations confidentielles dont elle fait usage au profit d’Israël.

Via : Le Réseau Voltaire

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Le rabbin Dov Lior, une autorité reconnue du mouvement sioniste religieux, a affirmé récemment qu’une femme juive ne doit jamais tomber enceinte en utilisant du sperme donné par un Non-Juifs, même si cela constitue la dernière des options.

Selon Lior, un bébé né d’une telle insémination aura «des traits génétiques négatifs qui caractérisent les non-juifs. » Au lieu de cela, il a conseillé les couples stériles d’adopter.

Lior a abordé la question lors d’une conférence sur la santé des femmes qui s’est tenue récemment à l’Institut Pouah. Son attitude conservatrice annule une décision largement accepté par les rabbins, qui stipule que les dons de sperme par un non-Juif est préférable à celle d’un anonyme Juif, qui pourrait poser un risque généalogiques.

« Dans Sefer HaChinuch (un livre de la loi juive) il est dit que les traits de caractère d’un père se transmet à son fils, déclare t-il dans la conférence. « Si le père de l’enfant n’est pas juif, quels traits de caractère se manifesteront ? Des traits de cruauté et de barbarie ! Ce ne sont pas des traits qui caractérisent le peuple d’Israël. »

Lior a ajouté, les caractéristiques juifs sont miséricordieux, timide et bienfaisant, qualités qui selon lui pourrait être héréditaire. « Une personne née de parents juifs, même si elle n’a pas été élevé dans l’esprit de la Torah, reçoit des choses qui sont transmises par le sang, c’est génétique, a t-il expliqué. « Si le père est un gentil (non-juif), l’enfant sera privé de ces choses. »

Via : Y Net News.com

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Le ministre français des Affaires étrangères et européennes, Michèle Alliot-Marie, exposera les grandes lignes de la politique étrangère de la France devant des dirigeants du judaïsme européen qui se réuniront dimanche à Paris.

A l’initiative du Congrès Juif Européen (CJE), une quarantaine de responsables des communautés juives discuteront du présent et de l’avenir des Juifs d’Europe confrontés à la progression de l’antisémitisme et à une tentative de délégitimisation de l’Etat d’Israël.

Selon le CJE, les dirigeants juifs porteront la parole et les préoccupations des 2 millions et demi de Juifs d’Europe.

Via : European Jewish Press.com

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Frères brouillés, amis manipulés, magistrat révoqué, sur fond de trafic de chèques et sociétés écrans... L’affaire de blanchiment du Sentier II a pris lundi des allures de petits règlements de comptes entre amis, au premier jour de son examen en appel.

Avec neuf prévenus, dont seulement sept physiquement présents, le procès devant la chambre 5-12, dans une petite salle lambrissée du 2e étage du palais de justice de Paris, n’a plus grand-chose à voir avec les deux méga-procès du Sentier en première instance.

« Sentier I », affaire d’escroquerie découverte en 1997 dans le quartier parisien de la confection, s’était soldée par 88 condamnations en 2002; « Sentier II », blanchiment d’argent frauduleux mis au jour dans la foulée de la première affaire, par 104 condamnés en 2008.

Le blanchiment était essentiellement basé sur l’échange entre la France et Israël de chèques contre de l’argent liquide et permettait à des sociétés et associations de dissimuler au fisc une partie de leurs revenus.

Au final, moins d’une dizaine de condamnés de « Sentier II » ont fait appel.

Parmi eux, deux animateurs présumés de réseaux de blanchiment, Georges Tuil, 57 ans, et Albert Bussu, 45 ans, condamnés respectivement à cinq et quatre ans de prison ferme, sont en fuite et ne viendront pas.

« Venir en France signifierait être arrêté immédiatement », a expliqué l’avocate de Georges Tuil, ressortissant israélien.

Bien présent en revanche, Jean-Louis Voirain, 66 ans, ancien procureur adjoint du parquet de Bobigny révoqué en 2004, conteste sa peine de trois ans de prison dont 20 mois ferme pour corruption passive et trafic d’influence.

Son avocat, Jacques Vaslin, a déploré le « tintamarre judiciaire et médiatique » durant l’instruction et le premier procès, avant d’appeler la cour à « étudier le dossier en toute indépendance d’esprit ».

Les six autres prévenus font appel de peines de prison avec sursis et d’amendes dont ils ont écopé pour recel ou complicité, et font figure de seconds couteaux décidés à démontrer qu’ils ont été victimes de leurs relations.

« Je n’ai jamais participé à aucun des faits qui me sont reprochés », a lancé un expert-comptable, Jean-Luc Cohen, se disant « victime de sa proximité » avec son frère, lui aussi condamné (mais qui ne fait pas appel).

« J’ai été manipulé par mon frère« , a également accusé un gérant de société.

« Je suis toujours prêt à rendre service, je suis tombé dans un piège », a lancé un ancien chef d’entreprise, Ouzifa Trabelsi. Absent lundi matin, il était là l’après-midi, expliquant venir spécialement de Tunisie pour son procès.

« J’ai fait d’autres bêtises dans ma vie et j’ai été relaxé. Là, j’ai rien fait et j’ai été condamné! », s’est indigné un agent commercial.

Les cas des prévenus sont examinés un à un, en fonction des réseaux de blanchiment auxquels l’enquête les a associés. Le procès est prévu jusqu’au 15 décembre, mais pourrait se poursuivre trois jours début janvier si besoin.

Il ne reste en appel qu’une partie civile, le conseil régional d’Ile-de-France, victime de l’affaire du Sentier pour avoir, notamment, versé des subventions à des entreprises pour des emplois fictifs.

En première instance, l’intérêt s’était surtout porté sur le rôle de quatre banques, dont la Société Générale, qui étaient poursuivies pour avoir laissé transiter chez elles de l’argent frauduleux. Or, les banques ne sont plus de la partie: elles ont été relaxées et le parquet n’a pas fait appel.

Le procès, qui se déroule les lundis et mardis toute la journée, ainsi que les mercredis après-midi, reprend mardi à 09H30.

Via : AFP.com

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Le document n’a pas été filtré par Wikileaks. C’est le Guardian de Londres qui se l’est procuré directement (28 novembre) : un câble transmis quelques jours avant par le ministère israélien des affaires étrangères à ses ambassades dans dix pays européens. Il contient l’ordre du ministre Avigdor Lieberman de trouver d’ici fin janvier environ 1000 personnes qui agiront en « amis d’Israël ».

Elles devront être « recrutées parmi des journalistes, universitaires, étudiants et militants soit juifs soit chrétiens ».  Elles seront informées par des fonctionnaires israéliens pour intervenir en faveur d’Israël par des articles, lettres et interventions dans des assemblées publiques. Elles devront non seulement recevoir des messages mais en faire une active promotion.

Les principaux centres de cette campagne seront cinq capitales européennes : Londres, Paris, Berlin, Madrid et Rome. Là, « les ambassades israéliennes recevront des fonds pour recruter aussi des professionnels : sociétés spécialisées en relations publiques et lobbyistes ». Elles auront comme tâche de renforcer l’action des « amis d’Israël » en diffusant des messages politiques sur des arguments comme la position israélienne à l’égard des Palestiniens et la violation des droits de l’homme en Iran.

Le ministère des affaires étrangères suggère en outre aux ambassades en Europe d’organiser mensuellement des événements publics de haut niveau en faveur de la politique israélienne et d’inviter des personnages influents à visiter Israël. Lieberman lui-même rencontrera le mois prochain ses ambassadeurs dans les pays européens pour donner une impulsion à cette nouvelle « offensive dans les relations publiques ».

Interviewé par le Guardian à propos de ce document, un fonctionnaire israélien  s’est refusé à commenter la découverte. Il a cependant déclaré : « Evidemment nous cherchons toujours de nouvelles façons d’améliorer nos communications, il n’y a rien d’étrange à cela ». Il a ainsi précisé qu’il « existe une préoccupation particulière sur la façon dont Israël est vu à l’étranger, en particulier dans certains pays d’Europe occidentale ».

Une nouvelle offensive de propagande du gouvernement israélien est donc en train de se préparer, focalisée dans les principales capitales européennes, parmi lesquelles Rome.

Via : Mondialisation.ca

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Fabienne Lévy, accusée de braquages de cinq agences bancaires en France et en Allemagne, arrive aux assises au TGI de Metz, le 7 décembre 2010.

Une ancienne commerçante, Fabienne Levy, a été condamnée à 10 ans de réclusion criminelle mercredi soir par la cour d’assises de Moselle, pour avoir braqué quatre banques allemandes et françaises, afin de se « venger du système », avait-elle expliqué.

Son fils, Jérémie, 21 ans, poursuivi pour complicité, a écopé d’une peine de 5 ans d’emprisonnement dont deux avec sursis.

A l’énoncé du verdict, l’accusée s’en est vivement pris aux magistrats et aux forces de l’ordre présentes dans la salle d’audience, en hurlant au « scandale ».

Dès l’ouverture du procès lundi, Mme Levy, 51 ans, avait expliqué son geste par sa volonté de se « venger des banques, du système ». Les braquages, dont l’un avait raté, lui avaient rapporté près de 175.000 euros.

« Je ne regrette rien, je voulais me venger des banques, d’un système », a-t-elle répété devant les jurés.

Décrite comme intelligente, titulaire d’une licence de droit, l’ancienne commerçante a été décrite comme « fusionnelle » avec son fils, dont elle avait eu la garde après un divorce.

Via : AFP.com

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Voir aussi : Maurice Gutman, élu UMP, membre du CRIF et Pédophile !

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A lire tous ces télégrammes, on devine que les diplomates américains ont dû souvent sourire en écrivant sur le président français. Mais tout cela ne les empêche pas d’apprécier aussi le caractère “pro-américain” du personnage et de voir en lui une grande “opportunité” pour la relation franco-américaine.

Ils apprécient bien sûr d’avoir été informés dès le 1er août 2005 qu’il serait candidat à l’Elysée, soit seize mois avant qu’il n’en fasse l’annonce aux Français. “Sarkozy a très peu d’expérience en politique étrangère et parle un anglais très limité” note encore un portrait rédigé sitôt après son élection en mai 2007.

Mais il a aussi pour qualité d’être “pro-israélien”, ce que l’ambassade américaine à Paris juge lié à ses origines familiales. “L’héritage juif de Sarkozy et son affinité pour Israël sont célèbres” écrit l’ambassade, qui se réjouit également de la nomination au Quai d’Orsay de Bernard Kouchner,“le premier ministre des affaires étrangères juif de la Vème République”.

Via : Israël Valley.com

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