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Cinq informations judiciaires ont été ouvertes dans l’affaire de la fraude à la TVA sur le CO2, qui aurait fait perdre au fisc 1,5 milliard d’euros. Mais les poursuites se concentrent sur quelques profils. La responsabilité des intermédiaires et de l’administration reste taboue.

Emprunter un jet privé pour aller au ski peut coûter très cher. Fabrice S., incarcéré depuis l’hiver dernier, en sait quelque chose. Il est soupçonné d’avoir participé à la fraude à la TVA sur le marché du CO2, qui place aujourd’hui le pôle financier du tribunal de grande instance de Paris en ébullition. Selon nos informations, pas moins de cinq informations judiciaires sont en cours, confiées à quatre juges d’instruction.

Chèque douteux et Aston Martin

C’est bien la facture d’un week-end à la montagne qui a mis la puce à l’oreille d’un policier versaillais qui épluchait les comptes de Fabrice S. pour une histoire de chèque douteux. Et peut-être aussi l’Aston Martin. Au départ, le commerçant vendait du textile sur les marchés. Un business prospère, spécialisé sur la distribution de jeans Diesel et de Converse. Marié, père de deux enfants et très impliqué au sein de la communauté juive de la banlieue parisienne où il réside, Fabrice S. ne donne a priori pas dans le bling-bling. Jusqu’à 2009, où les affaires décollent un peu trop vite, selon les enquêteurs. Lesquels soupçonnent aujourd’hui l’homme de s’être enrichi en participant au grand tournoi de « fraude au carrousel » sur le CO2, qui a allégé les caisses de l’État français de 1,5 milliard d’euros entre 2008 et 2009, selon un spécialiste du marché. Les fraudeurs achetaient des quotas hors taxes à l’étranger, et les revendaient taxes comprises en France avant de disparaître avec 19,6 % de bénéfice.

Gérant de fait

https://i0.wp.com/blog.ulurubeagle.com/wp-content/uploads/2009/01/fraude-300x300.gifSelon un proche du dossier, il est accusé d’être gérant de fait de la société Nathanael, une société de textile dont les comptes reflètent des mouvements de fonds impressionnants, soit 263 millions d’euros en deux mois transférés à l’étranger. La justice le soupçonne d’avoir extorqué quelque 43 millions d’euros au fisc, entre mars et le début du mois de juin 2009. Un de ses comparses, Aroun C. s’est réfugié en Israël, où il a été entendu par la police israélienne cet été. Sachant qu’Israël n’a pas d’accord d’extradition avec la France, les juges craignent que Fabrice S. suive le même chemin. Pourtant, son profil tranche avec les autres personnes mises en examen, dont l’implication dans cette fraude semble nettement plus réfléchie.

Sous les verrous

À commencer par Grégory Z., également sous les verrous. Gérant de la société Crépuscule, ce dernier était plutôt bien introduit dans la finance carbone. Sa société était d’ailleurs membre du marché du CO2 français depuis mai 2007, soit avant même la création de la place de marché BlueNext, fin 2007, qui a hérité des actifs de Powernext. « Au printemps 2009, quand on a appris que Gregory Z. s’était fait choper, on était surpris », assure un intervenant du marché.

À bien y regarder, Fabrice S. et Gregory Z. n’ont pas grand-chose en commun, si ce n’est le fait d’avoir momentanément partagé une cellule à la prison de la Santé…, un comble alors que les deux détenus le sont notamment pour éviter une circulation d’informations entre les protagonistes. Avec ses bureaux fantômes, installés boulevard de Sébastopol, dans une société de location de bureaux, et les multiples identités et sociétés avec lesquelles elle travaillait, Crépuscule a pris grand soin de dissimuler ses activités, tout en soignant ses relations. Ce qui est également le cas de bon nombre d’intermédiaires du marché du CO2, qui couraient les colloques et les cocktails en 2008 et 2009, et se font aujourd’hui plus discrets.

Voltalia sur la sellette

http://les4elements.typepad.fr/.a/6a00d83529ea3953ef0148c699ea95970c-800wiLa société Voltalia, cotée au Marché Libre et membre de BlueNext, qui génère des crédits de CO2 notamment en Guyane et au Brésil, avec des actionnaires prestigieux au capital, comme la famille Mulliez ou la Caisse des dépôts, aurait ainsi servi d’intermédiaire à la société Nathanael pour accéder au marché du CO2, selon certains témoignages recueillis par la justice. Contacté par « La Tribune », Robert Dardanne, le PDG de Voltalia, s’est refusé à tout commentaire.

Fraude avérée

D’autres structures, dont TerraNova Market, qui était membre du marché du CO2 de longue date, seraient aussi impliquées dans les montages. Elles ne sont cependant pas inquiétées par la justice. La société Nathanael est au contraire arrivée tout à la fin de la période de fraude : les transferts de fonds suspects qui lui sont reprochés portent sur trois mois, de mars à juin 2009. Une période où la fraude n’était plus une hypothèse. Les mouvements suspects reprochés à une des sociétés travaillant avec Nathanael, Max Sky, inquiétaient BlueNext dès le mois de mars. « Il y a eu des alertes, la taille de la négociation était supérieure à la moyenne d’une journée », a expliqué cet été la directrice juridique de BlueNext aux enquêteurs.

La Caisse des dépôts et consignations, actionnaire de BlueNext à 40 % mais aussi gestionnaire du registre de quotas de CO2, avait de son côté mis en garde dès le mois de décembre 2009 les services de Bercy. Et, selon nos informations, le cabinet de Christine Lagarde avait aussi été destinataire, le 30 janvier 2009, d’un courrier de la part du directeur général de la Caisse des dépôts et consignations, Augustin de Romanet. Lequel alertait sur le risque de fraude, en réclamant la suppression de l’impôt.

Il faudra plusieurs réunions entre les parties prenantes, c’est-à-dire la CDC et les cabinets d’Éric Woerth, alors ministre du Budget, et celui de la ministre de l’Économie, avant que la décision soit prise, le 15 mai 2009, de supprimer la taxe, lors d’une réunion au cabinet du ministre. Et trois semaines de plus pour sa mise en oeuvre, début juin. Une lenteur regrettable : entre le 15 mai et le 9 juin, date de la suppression effective de la TVA, 1,24 milliard de tonnes de CO2 ont été échangées sur BlueNext. Si l’on considère que 90 % des échanges étaient le fait de fraudeurs, et un prix moyen de 14,31 euros par tonne de CO2 sur la période, la perte pour le fisc dépasse les 300 millions d’euros. En moins de trois semaines.

Neuf enquêtes préliminaires et cinq informations judiciaires

Dix-huit mois plus tard, neuf enquêtes préliminaires ont été ouvertes à Paris. Et cinq informations judiciaires sont en cours, réparties entre quatre juges du pôle financier du tribunal de grande instance. Le juge Jean-Marie d’Huy a hérité de deux autres dossiers en plus de Crépuscule, tandis que Renaud Van Ruymbeke s’est attelé à une des instructions. Les juges Aude Buresi et Guillaume Daieff, du pôle de lutte contre la délinquance astucieuse, créé en 2009 et rattaché au pôle financier, sont chargés du dossier Nathanael. Le partage des dossiers entre quatre juges d’instruction, alors que le pôle financier en compte onze, témoigne de l’ampleur de l’affaire, même si, de l’aveu d’une source proche de l’enquête, « les moyens alloués à la lutte contre la fraude sont limités ».

Désinvolture à Bercy

Si les services du TGI sont mobilisés, ceux de Bercy manifestent en revanche une certaine désinvolture. Dans le dossier Nathanael, le Trésor a attendu plusieurs mois d’instruction avant de se porter partie civile, très récemment. Les poursuites ne semblent pas constituer une priorité pour le Trésor, principale victime de la fraude estimée à 5 milliards d’euros par Europol, dont 1,5 milliard en France.

Un pas en avant au Danemark

Le Danemark, dont le registre des quotas de C02 a attiré plus de 1.200 participants en 2009 lors du pic de fraude à la TVA, vient de faire un pas en avant pour mieux comprendre ce qui s’est passé. La commission des Finances du Parlement danois a en effet mandaté, la semaine dernière, la Cour des comptes locale (Rigsrevisionen) pour établir un rapport sur le sujet. Dans un premier temps, le Rigsrevisionen se consacrera à analyser la responsabilité du gouvernement danois, lors de la fraude, en 2008 et 2009. Et plus, précisément, celle du ministère de l’Environnement qui gérait le registre des quotas. L’actuelle commissaire européenne à l’Environnement, Connie Heddegard, était alors ministre de l’Environnement.

La faculté d’ouvrir des comptes de quotas était théoriquement ouverte à tout détenteur de carte d’identité, mais le registre danois a poussé le laxisme un peu plus loin que les autres en supprimant tout type de contrôle. La Caisse des Dépôts et Consignations, qui tenait le registre en France, demandait au moins un extrait des comptes d’une société. Ce qui ne l’a pas empêché d’héberger, en masse, des profils étonnants : des traders ne disposant que d’adresses de courriels ou de téléphones portables à Hong-Kong. Mais en nombre plus restreint. De nombreux ressortissants français étaient par ailleurs inscrits sur le registre danois.

Justice internationale

Selon Rasmus Borup, du secrétariat général du Rigsrevisionen, la seconde partie de l’enquête concerne « une coopération internationale entre les cours des comptes des autres pays concernés par la fraude ». Le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Pologne auraient déjà assuré la cour des Comptes danoise de leur collaboration. En France, « la Cour des comptes n’a pas encore été contactée », constate Christian Descheemaeker, président de la septième chambre en charge des questions d’environnement. Laquelle avait remis en 2008 aux commissions des Finances du Sénat et de l’Assemblée un référé sur le marché des quotas, et continue de s’intéresser au dossier.

Via : La tribune.fr

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Benjamin Netanyahu a demandé à Barack Obama de gracier Jonathan Pollard, qui purge depuis 25 ans une peine de réclusion à perpétuité aux Etats-Unis pour espionnage au profit d’Israël. Le chef du gouvernement israélien a lu mardi devant la Knesset la lettre qu’il a adressée au président américain, dans laquelle il demande «au nom de la nation d’Israël, de gracier Jonathan Pollard, qui travaillait comme agent du gouvernement israélien au moment de son arrestation».

Cet ancien analyste de la marine américaine a été arrêté en 1985 devant l’ambassade d’Israël à Washington. Il a été condamné pour avoir fourni des milliers de documents confidentiels à Israël. Après avoir plaidé coupable, Jonathan Pollard a été condamné à la prison à vie en 1987.

A l’époque, Israël avait présenté les agissements de Pollard comme le résultat d’une opération menée sans l’aval des autorités. Israël a accordé la nationalité israélienne à Pollard en 1996 avant d’admettre deux ans plus tard quil était bien l’un de ses espions.

Via : 20 Minutes.fr

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Bakchich a déterré un câble diplomatique passé inaperçu sur le site WikiLeaks. Où l’on apprend que les bandits israéliens règnent désormais sur le crime organisé mondial.

Comme une odeur de Coppola chaud dans l’arrière-cuisine israélienne. Un câble diplomatique daté de mai 2009, déniché par Bakchich sur le site WikiLeaks, déroule le film des parrains en Terre promise, façon Francis Ford.

https://i0.wp.com/a7.idata.over-blog.com/4/03/33/13/Mafiapremieredecouv.jpgLe scénariste : James Cunningham, ambassadeur des États-Unis en Israël. Les protagonistes : les gredins du crime organisé israélien. L’intrigue : leur influence grandissante au sein de l’État juif, leurs réseaux en Europe et outre-Atlantique. Une bien noire histoire où l’on apprend qu’à l’origine « cinq ou six familles ont traditionnellement dominé le crime organisé en Israël ». Mais que, « ces dernières années, il y a eu une forte augmentation de la portée et de l’impact de nouveaux réseaux ». Le contrôle d’une région par famille, c’est fini !

« L’ancienne école cède la place à une nouvelle race de la criminalité, plus violente », note l’ambassadeur. Fondée sur « une meilleure connaissance des explosifs de haute technologie, acquise au contact du service de défense des forces israéliennes ». Pour une dernière volonté : « Recourir à la violence aveugle. »

Empreinte russe

Une arme fatale à la hauteur de leur folie des grandeurs. Les nouveaux parrains israéliens « jouent maintenant un rôle significatif dans le commerce mondial de la drogue, fournissant à la fois le marché de la consommation locale et servant de point de transit vers l’Europe et les États-Unis ». Et l’émissaire américain de rapporter qu’en mars 2009 la police nationale a arrêté 12 suspects « dans ce qui est considéré comme le plus grand réseau de trafic humain mené par Israël à ce jour ». Soit la « contrebande de milliers de femmes de l’ancienne Union soviétique, forcées de travailler comme prostituées en Israël, à Chypre, en Belgique et en Grande-Bretagne ».

Dessin de Large

L’ogre rouge, replet de billets verts, n’est jamais très loin. Il est, en terre sainte, comme à la maison. Ainsi, « de nombreux oligarques russes d’origine juive et des membres du crime organisé ont obtenu la citoyenneté israélienne, ou, du moins, conservent leur résidence dans le pays ».

Et voyager avec un visa ? Pas de problème ! Au printemps 2009, trois noms du milieu ont pu participer, à Las Vegas, à une « convention sur les métiers de la sécurité ». Des petits soins possibles à une condition : avoir un casier judiciaire blanc comme neige, en évitant les condamnations pénales. En langage diplomatique, cela donne : « Des Israéliens connus pour travailler ou appartenir à des familles du crime organisé ne sont pas automatiquement inéligibles pour voyager aux États-Unis. »

Soutiens politiques

Au niveau des soutiens politiques de l’organisation, l’ambassadeur a sa petite idée sur le sujet. Ainsi de la députée du Likoud Inbal Gavrieli, élue en 2003, « fille d’un patron présumé du crime » et qui a tenté d’« utiliser son immunité parlementaire pour bloquer les enquêtes dans les affaires de son père ». Et de s’interroger sur la mesure « dans [laquelle] les éléments du crime organisé ont pénétré l’establishment israélien et corrompu des agents publics »… Jérusalem, j’ai rusé l’âme.

Via : Bakchich.fr

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Ambassadeur d’Israël au Royaume-Uni, Ron Prosor, a dressé un constat sévère sur la situation en Europe.  On ne peut pas compter sur les dirigeants européens dans la lutte contre la délégitimation et la diabolisation de l’État juif.

Devant un public nombreux réuni à la synagogue New West End de Londres, le diplomate a averti: « Quand les choses se gâtent, nul en Israël ne pense vraiment que l’Europe viendra à son secours« .

Le conférence à laquelle M. Prosor s’est exprimé était présidée par l’éditeur de Jewish Chronicle, Stephen Pollard.  Les autres orateurs étaient la baronne Deech, ancienne principale de St Anne’s College, Université d’Oxford, l’ancien gouverneur de la BBC et actuel directeur exécutif de The Times, Daniel Finkelstein, l’éditorialiste du Observer Nick Cohen et Rafael Barjardi, directeur exécutif de l’initiative Amis d’Israël.

Lady Deech a, en particulier, été critique de la réaction de la communauté face à la campagne visant à affaiblir Israël, et a accusé les dirigeants communautaires de ne pas défendre Israël avec suffisamment de vigueur.

« Il y a un manquement au niveau du leadership et des relations publiques », indiqua-t-elle. « Il nous faut un leadership juif, non seulement pour lever des fonds, mais également pour prendre position en faveur d’Israël. Nous avons besoin d’un réseau de gens prêts à parler. »

Via : Juif.org

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Le Comité permanent belge de contrôle des services de renseignement et de sécurité soupçonne Israël d’avoir installé les micros d’espionnage découverts en 2003 au siège du Conseil de l’UE à Bruxelles, rapporte le site internet EUobserver.

Selon la source, le rapport du Comité indique que les deux personnes soupçonnées d’avoir installé des dispositifs d’espionnage ont suivi un entraînement au sein de l’entreprise de télécommunication israélienne Comverse, connue pour ses liens avec le Mossad (service de renseignement israélien, ndlr).

Des micros ont été découverts en février-mars 2003 dans la partie du bâtiment Justus Lipsius, siège principal du Conseil de l’Union européenne, utilisée par les diplomates britanniques, français, espagnols et allemands.

« Nous ne disposons pas de preuves concrètes (de l’implication du Mossad, ndlr). Mais il s’agit d’un équipement avancé, installé dans les années 1993-94, rares étaient les pays qui avaient de tels moyens à cette époque. Ca peut être Israël, la Russie, l’Angleterre ou les Etats-Unis », a indiqué Peter de Smet, un membre du Comité permanent, cité par EUobserver.

Via : Ria Novosti.ru

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(Lawrence Franklin, Kenneth Pollack)

En 2005, le FBI a mis en cause un cadre du Pentagone, le colonel Lawrence Franklin, et un ancien analyste du Conseil de sécurité nationale devenu chercheur à la Brookings Institution, Kenneth Pollack.

Les deux hommes, à des titres divers, auraient transmis des secrets d’Etat à deux responsables de l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC), Steve J. Rosen et Keith Weissman ; lesquels les auraient remis au chargé d’affaire de l’ambassade d’Israël à Washington, Naor Gilon,.

L’enquête du FBI a permis d’établir les faits, mais pas de les qualifier. Ces secrets ont-ils été donnés sans contrepartie ou dans le cadre d’un échange d’information ? S’agissait-il d’espionnage ou de fuites ? Et la révélation de ces secrets a t-elle porté tort aux Etats-Unis au bénéfice de son allié israélien ?

Au passage, la saisie des ordinateurs de l’AIPAC a permis de découvrir que l’AIPAC, qui se définit comme « le lobby pro-Israélien en Amérique », avait financé la carrière du politicien français Nicolas Sarkozy. A l’époque, l’ambassadeur d’Israël à Paris s’était précipité à l’Elysée pour assurer le président Jacques Chirac que son pays n’était aucunement impliqué dans cette ingérence, laquelle était exclusivement imputable au zèle de quelques amis états-uniens.

Quoi qu’il en soit, pris dans une tourmente de politique intérieure Lawrence Franklin fut d’abord condamné à 12 ans et 7 mois de prison ferme pour espionnage ; peine qui fut réduite à 10 mois de prison et 100 heures de travaux d’intérêt général.

Après avoir longtemps soutenu ses employés, l’AIPAC a fini par les lâcher. Steve J. Rosen [à gauche sur la photo, avec son avocat à droite], se retrouvant sans emploi et au centre de plusieurs procédures judiciaires, se retourna contre son ancien employeur. Cette situation donne lieu à un grand déballage.

Il apparaît que l’AIPAC reçoit fréquemment, de sources diverses, des informations confidentielles dont elle fait usage au profit d’Israël.

Via : Le Réseau Voltaire

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Vous avez devant vous, des bonnes sœurs, victimes d’une bande organisée! » s’enflammait hier maître Miceli, avocate de la partie civile représentant l’OGEC Jeanne d’Arc (Organisme de gestion de l’enseignement catholique). Ce lycée privé catholique arlésien est en effet à l’origine du procès pour escroquerie qui s’est tenu hier devant le tribunal correctionnel de Tarascon à l’encontre d’Olivier, 43 ans, de Menahem-Mendel, 31 ans, et Fabrice, 35 ans.

Les faits remontent au printemps 2005. Une année particulièrement marquante pour l’équipe pédagogique de Jeanne-d’Arc qui avait vu l’un de ses employés mis en cause dans ce qu’on appelle pudiquement « une affaire de moeurs ». Face à un chiffre d’affaires en baisse et à la recherche de nouveaux élèves, le nouveau directeur financier avait répondu à un démarchage commercial et signé un contrat pour de la publicité.

Sauf que quelques jours plus tard, un interlocuteur se prévalant du titre ronflant d' »employé de la cellule d’endettement du ministère des finances » vient lui faire remarquer qu’il s’est engagé sur 5 ans pour un montant de 800 000 euros.

Il l’exhorte donc à se désengager mais, pour cela, il faut payer près de 300 000 euros. Un moyen de limiter la casse selon le directeur qui, malgré ses soucis financiers, débourse cette somme en à peine deux mois. Jusqu’à ce qu’il se rende compte que les numéros de téléphone qu’on lui a laissés sont faux, et qu’il porte plainte.

Pendant ce temps, l’argent du lycée s’était échappé loin de là, c’est à dire en Suisse. C’est l’un des prévenus, Fabrice, qui aurait demandé au fils d’un banquier très connu à Genève, pour rendre service à un ami israélien, de lui trouver un « compte ancien, solide » qui permettrait de décaisser des sommes importantes sans éveiller les soupçons des autorités.

Menahem est alors allé demander l’aide de son voisin, Olivier, chef d’entreprise en difficulté financière depuis son divorce. « Je n’ai jamais pensé que c’était 100% honnête mais je ne savais pas d’où venait cet argent. Je n’avais pas imaginé la folie de la chose » a déclaré Menahem, reconnaissant son implication, à l’instar de ses coprévenus. Dont les avocats, maîtres Mairin, Koplewicz et Abad, ont pourtant plaidé la relaxe. En effet, les trois prévenus ne sont poursuivis que pour complicité d’une escroquerie d’une ampleur beaucoup plus importante puisqu’elle porte sur plus de 2 millions de dollars.

Cette affaire est toujours à l’instruction au pôle financier de Paris, mais le principal mis en cause, c’est à dire l' »ami israélien » n’a jamais été retrouvé. « La police ne l’a pas repéré…il suffit pourtant de taper son nom sur facebook pour le trouver » faisait remarquer un prévenu. « Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas l’auteur principal des faits que cela nous empêche de juger les complices » lui a répondu la nouvelle vice-procureur de Tarascon, Gwenaelle Le Flao.

Soulignant que les trois prévenus qui « gravitent dans le milieu des affaires » ne sont « pas ignorants des règles« , elle a requis deux ans de détention dont un avec sursis. « Ce sont les lieutenants d’un réseau international organisé » avançait encore la partie civile, avant de réclamer le remboursement des sommes escroquées, ainsi que la somme mirobolante de 80 000 euros de dommage et intérêts au titre du préjudice moral. Une requête contre laquelle s’est élevée la défense, se demandant alors ironiquement combien les parents d’élèves seraient en droit de réclamer…

Le tribunal a mis sa décision en délibéré jusqu’au 10 février.

Via : La Provence.com

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Le rabbin Dov Lior, une autorité reconnue du mouvement sioniste religieux, a affirmé récemment qu’une femme juive ne doit jamais tomber enceinte en utilisant du sperme donné par un Non-Juifs, même si cela constitue la dernière des options.

Selon Lior, un bébé né d’une telle insémination aura «des traits génétiques négatifs qui caractérisent les non-juifs. » Au lieu de cela, il a conseillé les couples stériles d’adopter.

Lior a abordé la question lors d’une conférence sur la santé des femmes qui s’est tenue récemment à l’Institut Pouah. Son attitude conservatrice annule une décision largement accepté par les rabbins, qui stipule que les dons de sperme par un non-Juif est préférable à celle d’un anonyme Juif, qui pourrait poser un risque généalogiques.

« Dans Sefer HaChinuch (un livre de la loi juive) il est dit que les traits de caractère d’un père se transmet à son fils, déclare t-il dans la conférence. « Si le père de l’enfant n’est pas juif, quels traits de caractère se manifesteront ? Des traits de cruauté et de barbarie ! Ce ne sont pas des traits qui caractérisent le peuple d’Israël. »

Lior a ajouté, les caractéristiques juifs sont miséricordieux, timide et bienfaisant, qualités qui selon lui pourrait être héréditaire. « Une personne née de parents juifs, même si elle n’a pas été élevé dans l’esprit de la Torah, reçoit des choses qui sont transmises par le sang, c’est génétique, a t-il expliqué. « Si le père est un gentil (non-juif), l’enfant sera privé de ces choses. »

Via : Y Net News.com

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L’ancien sénateur David Duke dresse le constat de la lutte raciale menée contre le peuple français et les peuples européens. Comparant les situations américaines et européennes et les mesures prises dans ces deux pays, il insiste sur le cas français : après avoir examiné les actions et les pensées qui sous-tendent la volonté génocidaire contre l’Europe.

Il demande l’inculpation de Sarközy pour génocide (Sarközy qui appelle à la destruction du sang blanc et dont l’ensemble des membres de la famille ne se marient qu’au sein de la tribu).

Via : The Savoisien

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La Russie a libéré le mercenaire israélien Yair Klein dont la Colombie réclamait l’extradition, et il est en route vers son pays, a annoncé vendredi l’agence Interfax, citant une source au sein des forces de l’ordre. « Klein a été libéré et il est actuellement en route vers Israël« , a indiqué cette source à Interfax. Aucune précision n’a été donnée.

Le mercenaire a été condamné à dix ans et huit mois de prison en Colombie en 2001, pour avoir enseigné des techniques militaires et terroristes à des paramilitaires. En août 2007, il a été arrêté à Moscou en vertu d’un mandat d’arrêt d’Interpol en vue de son extradition vers la Colombie.

Via : Europe 1

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Le ministre français des Affaires étrangères et européennes, Michèle Alliot-Marie, exposera les grandes lignes de la politique étrangère de la France devant des dirigeants du judaïsme européen qui se réuniront dimanche à Paris.

A l’initiative du Congrès Juif Européen (CJE), une quarantaine de responsables des communautés juives discuteront du présent et de l’avenir des Juifs d’Europe confrontés à la progression de l’antisémitisme et à une tentative de délégitimisation de l’Etat d’Israël.

Selon le CJE, les dirigeants juifs porteront la parole et les préoccupations des 2 millions et demi de Juifs d’Europe.

Via : European Jewish Press.com

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Famille juive orthodoxe

Un rabbin hassidique et trois de ses fils sont soupçonnés d’avoir agressé sexuellement au moins quatre femmes de leur famille, après que la plus âgé des victimes s’est confiée à un collègue de son école juive, a indiqué la police vendredi.

Le père de 58 ans et un des fils âgé de 21 ans, ont fui en Israël il y a deux jours et sont recherchées activement, a indiqué la police. Ils ont apparemment été conduits à l’aéroport par la mère. Deux autres fils, âgés de 24 et 15 ans, ont été arrêtés pour abus sexuels et des accusations de viol.

Selon la police, les abus ont était révèles après que la victime la plus âgée, qui a aujourd’hui 20 ans et qui travaillait comme aide enseignante dans une Yeshiva de Brooklyn, a confié a un professeur qu’elle avait été maltraitée.

Selon les autorités, elle a été agressée par son père à plusieurs reprises depuis 15 ans. Les autres victimes sont âgés de 8 à 19 ans.

Selon la police, le père est soupçonné d’avoir abusé d’au moins deux de ses filles. Les frères ont été accusés de viol et d’autres crimes pour avoir abusé de leurs sœurs. Le plus jeune suspect (15 ans) a quand lui a été accusé d’avoir agressé sexuellement la jeune fille 8 ans.

Via : The Associated Press.com

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